La Grotte aux Fées
Datte: 27/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
hagé,
fagée,
jeunes,
frousses,
copains,
forêt,
jardin,
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vengeance,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... Véronique est en train d’agiter les bras avec la discrétion d’un sémaphore.
— Le colonel t’attend à l’entrée de la salle de bal. Magne-toi.
Long couloir, grande salle, re-couloir ; me voilà sur les lieux. Salle de bal, vous dites ? Pourtant, d’après les cris qui parviennent jusqu’à mes oreilles, je dirais plutôt salle de baise.
Sur l’un des immenses canapés de velours rouge, à une bonne trentaine de mètres de moi, deux types déjà aperçus au haras sont en train de pistonner une femme dont je ne vois pas le visage, mais qui, à en juger par le raffut qu’elle fait, est en train de se prendre un panard sévère. Par contre, on ne peut pas en dire autant des deux mecs qui – et cela se lit sur leur visage – semblent s’emmerder dans les grandes largeurs.
Pourtant le pilonnage continue, avec d’ailleurs une amplitude assez impressionnante. Est-ce la fréquentation des chevaux qui leur vaut d’être équipés comme leurs petits protégés ? J’en doute, mais dans le genre manche de pioche, ils se posent là.
Ce détail n’a certainement pas échappé au colonel qui, une fois de plus, a su trouver l’endroit idéal pour mitrailler le trio en long, en large et en travers. Par contre, et malgré tous mes efforts, je ne parviens pas à identifier la ramonée… Tout ce que je peux en dire, c’est qu’entre son ventre flasque qui pendouille presque autant que ses seins ou ses fesses molles qui s’agitent au rythme des coups de reins des gaillards, la dame ne doit pas être de première jeunesse.
Ah ...
... ; là-bas, changement de position. Finie la pipe interminable et les coups de reins tout aussi interminables : il doit fortement être question d’une queue dans la chatte et une autre dans le fion… La mise en place du trio est naturellement assez acrobatique et dure d’autant plus que la principale intéressée est visiblement souple comme un verre à lampe, ce qui me permet d’entrevoir enfin son visage. Pour la seconde fois en moins de deux heures, j’ai la mâchoire qui se décroche, mais pas tout à fait pour les mêmes raisons qu’avec Apolline.
La bonne femme, là, qui est en train de se faire tringler en stéréo, c’est cette chère Laure-Adélaïde… Ah, elle a bonne mine, la donneuse de leçons qui se préoccupe tellement de l’avenir d’Apolline ! Elle ferait mieux de s’occuper de son cul, bien que, précisément, il soit en ce moment très occupé… Et pendant ce temps, là-haut, les pellicules se succèdent.
Tiens, la fête est finie ! Enfin, non, pas tout à fait, puisque les deux bonshommes sont en train de s’astiquer leurs invraisemblables manches avec l’intention évidente de gicler sur le visage de mémère qui n’attend visiblement que ça. Le premier à exploser est celui de gauche ; une quantité industrielle de foutre atteint sa cible au niveau de l’œil droit tandis que la décharge de l’autre atterrit presque totalement dans la bouche de sa victime plus que consentante qui, sans doute pour faire bonne mesure, s’empresse d’engloutir la cargaison.
Deux secondes plus tard, la matrone a ...