1. La Grotte aux Fées


    Datte: 27/05/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, frousses, copains, forêt, jardin, parking, voiture, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... maison apprend la mésaventure parvenue à notre équipage et s’empresse de proposer ses services au château. Elle dispose, et bien évidement immédiatement disponibles, d’un chauffeur expérimenté et d’une cuisinière diplômée.
    
    — Leurs références sont irréprochables ?
    — Bien entendu : ce sont deux personnes très expérimentées et en qui vous pouvez avoir toute confiance.
    — Ils sont catholiques et vont à la messe ?
    — Cela va sans dire, Monsieur.
    — Très bien. Dans ce cas, dites-leur de se présenter au château demain à huit heures. Le majordome les recevra.
    
    Bon, évidemment, le fait que le patron de cette boîte d’intérim fasse partie de mes sponsors n’est, une fois encore, qu’une coïncidence. Mais franchement, que serait la chance si l’on ne lui donnait pas un petit coup de main ?
    
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    Physiquement, Charles-Hubert de Mansy est l’antithèse de son frère. Nettement plus petit que lui, le cheveu encore plus rare – mais cette fois, le célébrissime sabot de trois, cher à tous les anciens troufions, n’y est pour rien – il dispose de plus d’un solide embonpoint. Et si le frangin, même lorsqu’il était d’active, vous regardait toujours avec une certaine bienveillance, lui ne vous voit pas. Non, pour lui, vous êtes absolument transparent.
    
    Mais tout cela est-il vraiment important ? De toute façon, mon taf se limite pour le moment à véhiculer monsieur au volant de sa toute nouvelle Mercedes arrivée le matin même en provenance directe de l’usine de Stuttgart.
    
    Mais, en ...
    ... début d’après-midi, commence une autre cavalcade puisque, vers quatorze heures, j’emmène la belle-sœur de notre homme en ville… Elle se prénomme Isaure, semble avoir une quarantaine d’années – mais il est bien connu que le pognon conserve encore bien mieux que le formol – et, en un mot comme en cent, est l’archétype de la bourgeoise un peu pincée.
    
    Et là, quasiment tous les jours et après de longues heures passées dans les boutiques, je me retrouve à trimbaler quasiment un demi-mètre cube de robes, de chapeaux, de machins, de trucs, de choses… Mais que peut-elle bien faire de tout cela, et où le stocke-t-elle ? Bon, d’accord, en vérité, je m’en tape.
    
    Nous sommes jeudi, jour où madame a ses habitudes dans un certain grand magasin. Oh, mais que voilà une autre charmante femme du monde… C’est curieux, d’ailleurs, cette ressemblance qu’elle a avec Charlotte, l’une de mes deux essoreuses de braguette du service militaire. Elle passe devant moi, fait mine de ne m’avoir jamais vu, avant de se précipiter sur le même bout de chiffon hors de prix qu’Isaure était elle-même en train d’examiner.
    
    — Oh, pardon… Je vous prie de bien vouloir m’excuser… Je me suis trompée… Par contre, cette robe vous ira à ravir…
    
    Et allons-y gaiement ! S’ensuit naturellement l’une de ces conversations délicieusement prout-prout qui font le charme des femmes du monde ou de celles qui tentent de faire croire qu’elles y appartiennent.
    
    — Mon mari est chirurgien… C’est lui qui dirige la clinique des ...
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