Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... planté ce sexe sombre. Elle commençait maintenant à donner plus d’amplitude à ses mouvements. Je voyais cette verge en silicone ressortir de sa fleur béante, toutes lèvres dehors, tentant de caresser cette texture maintenant toute humide. Puis ses mains forçant l’objet à revenir en elle. Sa respiration était saccadée, on sentait la difficulté de la pénétration, mais Isabelle gémissait doucement lorsque le vibro était complètement en elle, et c’était un gémissement de plaisir.
Ses joues rosissaient aussi ; je voyait ses petits seins pointer vers le ciel et me rappelai la sensation que j’avais eue en les léchant et les suçant. Ce souvenir pas si lointain m’excita encore un peu plus et je me laissai tomber sur monsieur Rose, m’extirpant un petit cri de plaisir. Isabelle ouvrit ses yeux à ce moment-là, m’adressa un sourire fatigué mais tellement doux, tellement sensuel. Je la voyais glisser progressivement vers un plaisir mérité.
Elle retira une main du Boss et commença à masser ses grandes lèvres pendant que l’autre main pouvait maintenant faire entrer et sortir le jouet de son sexe. Son majeur et son index étaient de part et d’autre du gode qui allait et venait de manière plus rapide.
Les petits bruits de succion devenaient plus forts à chaque insertion. Je voyais ses doigts appuyer sur ses lèvres, masser sa vulve. Et le sexe violet venait maintenant avec force dans son sexe. Je n’aurais jamais pensé pouvoir me le mettre de cette manière. Elle ne respirait plus que ...
... par intermittence ; elle soufflait, elle gémissait, et sa main envoyait Le Boss au fond d’elle-même.
La paume de sa main venait d’atterrir sur son pubis et ses doigts massaient ses chairs, en petits cercles autour du gode, puis de haut en bas. Je devinais ce qu’il devait se passer sous cette paume, dans quel état devait être son clitoris. Et là encore j’eus le souvenir de ce petit bouton roulant sur ma langue. C’en était trop pour moi : je m’enfonçai monsieur Rose jusqu’à la garde, et mon autre main vint s’occuper de mon bouton sans grande sensualité. J’avais besoin de jouir, j’avais besoin de libérer cette tension, de crier ma vision de son sexe qui me faisait perdre la tête.
Isabelle accélérait les mouvements de sa main sur sa vulve et plantait Le Boss de manière désordonnée dans ses profondeurs intimes. Je ne pouvais plus tenir ; j’ai joui, pliée en deux, monsieur Rose me poignardant de plaisir et mes doigts laissant mon clitoris englué de ma jouissance. Les voisins ont eu, pour la première fois, le privilège de m’entendre, et c’était pour un orgasme foudroyant. Certainement pas le plus sensuel, mais certainement le plus intense.
En relevant la tête, je vis Isabelle, les yeux fermés, les joues rouges, la tête sur le côté contre l’oreiller, soufflant plus qu’elle ne respirait. Elle sortit Le Boss de son sexe, sa liqueur tissant des liens transparents jusqu’à sa corolle distendue. Elle continua ses caresses autour de sa vulve, encore, toujours plus intensément, puis ...