Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... tête, épuisée par tout le plaisir accumulé dans la journée. Et tête baissée, bouche grande ouverte, je rencontrai sa vulve de plein fouet, liquide, glissante, parfumée, charnue et sensuelle. Je me retrouvai le visage contre son sexe. Je découvris son intimité de mes lèvres, je sentis cette liqueur sur mon visage, je goûtai enfin à son désir. Je n’avais plus ma tête, je ne réfléchissais plus, j’étais en elle, le nez entre ses grandes lèvres, ma bouche au contact de ses chairs délicates. Je voulais plus, et ma langue vint enfin boire le calice, s’enivrer de ce plaisir féminin.
Une barrière venait de tomber. J’avais besoin de découvrir ses profondeurs, ses douceurs. Je léchais tout ce qu’elle voulait bien m’offrir. Et elle s’offrait à moi. Elle écarta ses cuisses au maximum. Sa corolle ne pouvait pas être plus ouverte ni plus offerte. Je passai ma langue de haut en bas sur sa rosée, sur ses pétales. Elle ne respirait plus, elle hoquetait presque.
À chaque coup de langue, je sentais son clitoris se durcir. Je tentai de lui offrir une pénétration, mais ma langue avait sa propre vie et n’était pas assez raide pour venir en elle. En revanche, les évolutions, les caresses parfois désordonnées lui faisaient malgré tout de l’effet. Je commençais à sentir son ventre se durcir contre mes seins. Je secouais ma bouche d’une cuisse à l’autre, léchant ses lèvres, puis revins à son clitoris. Ma langue l’emprisonna. Je pris plaisir à le lécher, à le chercher sous ce minuscule bout de ...
... peau. J’entendais Isabelle maintenant qui gémissait aussi :
— Charlotte ! Lèche encore ! N’arrête pas !
Mon prénom dans sa bouche était devenu érotique, pornographique. Je plaquai ma langue contre son bouton et entamai des va-et-vient. Elle avait ses mains sur mes fesses et ne les bougeait plus. Son ventre, lui, commençait à vibrer. À chaque coup de langue sur son clitoris, ses hanches se levaient et venaient à la rencontre de ma bouche.
Je prenais le rythme, branlais son trésor en lapant son nectar. Ses mains se crispaient sur mes fesses, ses jambes commençaient à se raidir et son bouton… son bouton si dur était un délice à lécher, avec un goût inimitable. Il était présent, roulait. Je le sentais. La langue raide maintenant, je continuais à décalotter son clitoris en remontant, à l’encapuchonner en descendant.
Elle explosa enfin, ses ongles dans mes fesses, ses hanches agitées de soubresauts et cherchant à plaquer ce sexe enfin délivré contre ma bouche le plus longtemps possible. J’en profitai pour me délecter de cette jouissance de mes lèvres, profitant de son plaisir pour explorer sa féminité, son intimité absolue ; je plaquai ma bouche dans sa vulve ouverte, respirai son odeur, sa jouissance.
Je devais avoir le visage couvert de son plaisir, mais qu’importe : elle avait joui de ma propre bouche, de mes baisers. J’étais heureuse, j’étais à elle et elle venait de s’offrir à moi. Prise de convulsions, elle referma ses cuisses autour de ma tête.
Je revins un ...