Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... yeux, plaisanta-t-elle.
Mais elle avait raison. Je ne pouvais détacher mon regard de sa peau, de ses chairs intimes. Elle continua :
— Je crois que je suis dans le même état que toi…
Elle commença enfin à avancer vers moi, lentement, sa main toujours entre ses cuisses. Mais elle ne faisait pas que masquer son sexe. Elle avait ses doigts plaqués contre sa vulve. Je m’allongeai alors sur mon lit. Elle en fit le tour, comme un félin qui jauge sa proie. Elle s’avança enfin et s’allongea sur le lit, à mes côtés, les fesses en l’air. J’étais frustrée de ne pas avoir pu contempler encore ce délicieux spectacle.
Nous étions maintenant l’une contre l’autre. Elle tendit le cou et approcha ses lèvres de mon visage, déposa un délicat baiser sur ma joue, fit glisser sa bouche, juste en effleurant ma peau, jusqu’à mes lèvres que j’ouvris immédiatement pour reprendre nos jeux de langues qui devenaient maintenant beaucoup plus érotiques.
Nos langues se croisaient, revenaient, s’enlaçaient, puis se quittaient, enveloppées par les lèvres de l’une ou de l’autre. Elle se rapprocha encore de moi et plaça doucement une main sur ma joue. Quelle délicieuse caresse… Bouche contre bouche, nos langues jouant entre caresses et explorations voluptueuses, et sa main qui effleurait ma joue puis allait se perdre dans mes cheveux. Ses doigts cherchaient à découvrir ma peau. Des instants d’intense bonheur, si rares.
Je ne pouvais pas rester sans répondre ; je ne devais pas, et surtout, ...
... j’avais envie de répondre à cette invitation sensuelle. Je posai alors une main hésitante sur sa hanche. Sa respiration devint instantanément plus forte, sa langue se fit plus pénétrante, plus sexuelle, sa bouche commençait à jouer avec nos salives mélangées.
Elle vint contre moi. Le contact était chaud, direct et tellement doux en même temps. Je sentis ses seins contre ma peau. Ils étaient durs, et épousaient tellement agréablement ma peau que je sentais en même temps mes tétons contre elle, sous ses seins… une sensation affolante.
Ils durcissaient aussi ; je crois que ma respiration s’est affolée à ce moment-là. Il n’y avait plus de copines, de discussions à bâtons rompus. Il y avait de la fougue, la flamme des nouvelles amantes ou en passe de le devenir. Ses seins caressaient le haut de ma poitrine. Ma main était toujours sur sa hanche, mais je ne pus m’empêcher de la faire glisser dans son dos, son bas de dos.
Sa peau était tellement douce, tellement agréable. Ce bas de dos… ce haut des fesses. Ma main était maintenant sur cette fesse sensuelle, ferme. Une peau lisse, douce, agréable, un appel à la caresse. J’attrapai à pleine main ces chairs. À cette attaque, elle répondit en passant une jambe entre les miennes, remontant sa cuisse au plus haut. Cette remontée était exquise ; sa cuisse parcourait ma jambe de mon genou jusqu’à… jusqu’à ce qu’un bruit de clapotis nous fasse comprendre qu’elle ne pourrait pas aller plus haut : sa peau avait rencontré mon sexe ...