1. Le coup du soutien


    Datte: 25/05/2020, Catégories: hplusag, odeurs, massage, confession, amourcach, Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe

    ... culotte est chaud et déjà moite. D’une pression plus prononcée, j’imbibe le tissu. Je la sens tressaillir à nouveau, mais plus nettement. Elle apprécie encore plus et souffle…
    
    — Oh…
    
    Depuis combien de temps mouille-t-elle ainsi ? Cette idée me turlupine.
    
    L’inconfort ne diminue pas dans mon pantalon et je sais qu’il est trop tard, que la situation m’a encore échappé. Décidément, je suis faible et lâche.
    
    Je m’approche de son oreille pour lui confier mon projet…
    
    — Je crois que je vais te baisser un peu la culotte, Emma…
    
    Son consentement me paraissant acquis, je viens m’agenouiller devant son postérieur. Elle tient toujours sa jupe relevée et, admiré de si près, le spectacle est fascinant. En douceur, je fais descendre sa culotte sur le haut de ses cuisses. Un tableau d’une scandaleuse obscénité se révèle à moi. La position cambrée et tendue vers l’arrière de l’impudique demoiselle distend son anus et a tendance à ouvrir sa vulve pulpeuse. J’y vois luire en petits fils nacrés d’appétissantes liqueurs intimes qui par endroits collent encore au tissu. Admirable fruit mûr et gorgé n’attendant plus qu’une langue.
    
    Elle est dans un état… Et cette odeur…
    
    Les effluves féminins si caractéristiques qui émanent de son sexe trempé et de sa jolie pastille brune et palpitante m’attirent irrésistiblement. Je ne peux plus reculer, j’approche la bouche et… j’entends l’aspirateur s’éteindre.
    
    Alerte orange.
    
    Je stoppe net, Emma s’est crispée et nous retenons notre ...
    ... souffle, à l’affût…
    
    Les premières marches grincent.
    
    Alerte rouge.
    
    Vite, je me rassois sur mon tabouret. Emma laisse retomber sa jupe et reprend une pause décente. Les joues rosies, elle feint de se remettre au travail. Son air sévère et le regard noir qu’elle me lance m’étonnent. Ils trahissent la frustration et le reproche. Que son désir soit puissant au point qu’elle m’en veuille de cette interruption m’excite davantage. Quel petit démon.
    
    Dans l’embrasure de la porte, Marie fait son apparition (Dieu sait pourtant qu’elle n’est ni vierge, ni sainte celle-là).
    
    — Alors, ça roule l’anglais ?
    
    J’essaie de faire bonne figure, mais c’est compliqué tant mon cœur s’est emballé. Et puis me comporter ainsi sous son propre toit me pose un vrai problème par rapport à Marie. Sans compter qu’Emma voit bien que j’abuse sa mère… ce qui lui donne forcément un peu de pouvoir sur moi… Je vais finir par me faire une sacrée réputation dans le quartier. Merde, merde, merde et re-merde ! Tempête sous un crâne. Et pas que là…
    
    — … Ouais, ouais, l’anglais ça roule… Mais on va voir si c’est compris avec les exos. Hein, Emma ?
    
    Emma confirme, et Marie d’enchaîner…
    
    — Ça vous dérange si je m’absente vite fait ? Faudrait que je passe voir Jeanne, j’en n’ai pas pour longtemps…
    
    (… Non… Marie, non… pitié, pas ça…)
    
    L’espace d’un instant, l’idée que mère et fille sont de mèche me traverse l’esprit. Elle voudrait me mettre sa gamine entre les pattes qu’elle ne s’y prendrait pas ...