1. Le coup du soutien


    Datte: 25/05/2020, Catégories: hplusag, odeurs, massage, confession, amourcach, Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe

    Résumé du chapitre précédent : Rendant visite à ma copine Marie, j’ai surpris sa fille, Emma, en pleine séance de masturbation. J’ai tenté d’évacuer la gêne avec une plaisanterie, mais la situation a dérapé. J’ai fini par m’échapper avant de commettre l’irréparable.
    
    Après m’être si mal conduit avec Emma, je me sentais fautif. J’avais grossièrement profité de la situation, pour ne pas dire « abusé ». C’était gonflé de ma part d’oser lui faire ce que je lui avais fait. D’un autre côté, elle avait montré tous les signes du consentement, pour ne pas dire « contentement ». Il m’avait même semblé que la coquine était restée sur sa faim.
    
    Et puis son petit air supérieur…
    
    Ça me tarabustait depuis des jours et je ne parvenais pas à soulager ma conscience. Elle était si jeune… Ce n’était pas sérieux du tout et je nourrissais de sincères scrupules. Faire un truc pareil à Marie, à ma meilleure copine, fallait être un beau dégueulasse. Bien sûr, je pouvais toujours invoquer « les circonstances », mais honnêtement, elles ont souvent bon dos, les circonstances. Et dans le cas présent, étaient-elles vraiment atténuantes ? Pas sûr.
    
    Je faisais profil bas et c’est avec une certaine anxiété que j’attendais que Marie se manifeste.
    
    Une petite semaine après ce regrettable moment d’égarement, elle m’a appelé. Ce qu’elle m’a dit au téléphone n’a pas manqué de me laisser baba. Sa chère Emma s’était découvert de subites difficultés en anglais et, comme c’est une langue que je maîtrise ...
    ... plus que convenablement, elle me sollicitait pour quelques cours de soutien.
    
    Ben voyons…
    
    Difficile pour moi de refuser, Marie n’aurait pas compris. Je me suis donc retrouvé piégé, même si, je dois l’admettre, la perspective de me retrouver à nouveau dans la proximité immédiate de cette petite délurée piquait ma curiosité. Elle n’avait pas mis de temps à trouver une combine pour donner une suite à cette lamentable aventure. En tout cas, dire qu’elle semblait motivée était un euphémisme.
    
    Rendez-vous fut pris.
    
    Le jour venu, en sonnant chez Marie (car on ne passe plus par le jardin), je suis nerveux. L’initiative prise par Emma laisse peu de doutes sur ses intentions. Quant à moi, je redoute la réaction de Marie si elle apprenait la véritable raison qui pousse sa fille à réclamer mon aide. En langage sportif, c’est ce qu’on appelle « jouer serré », et j’ai le pressentiment qu’il pourrait y avoir du sport.
    
    C’est Emma qui vient m’ouvrir. Comme par hasard, elle porte une bien courte jupette à carreaux. Très jolie au demeurant. Vous avez dit prévoyante ? Décidément, elle a une idée derrière la tête. On se fait la bise le plus naturellement du monde et je commence par prendre un café avec Marie. Nous conversons de choses et d’autres et, pendant ce temps, Emma feint de s’occuper avec son portable sur le canapé, le fameux canapé. J’ai du mal à ne pas repenser à ce qu’elle y fabriquait l’autre jour, quand je l’ai surprise. Je me dis qu’elle est sûrement en train de penser à ...
«1234...»