-
L'enfoutreur (5)
Datte: 25/05/2020, Catégories: Divers, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... un petit sursaut à Solange. La queue de Jérémie avait disparu dans la bouche avide de notre impatiente patiente et le gros rondin de Roger commença à s’allonger. — Encule-la, encule-la merde, prends-moi cette salope à sec, supplia-t-il ! Je me mis donc en bouledogue pour saillir la grosse pute J’enfonçai mon dard. L’élasticité du fion me surprit. La garce devait avoir l’habitude de se prendre de sacrés gourdins de ce côté-là car le passage était aussi ouvert qu’un tournesol en plein soleil. De plus, elle mouillait du cul presque autant que de la chatte. Mon machin s’enfonça dedans sans rencontrer de résistance. On va lui déboîter tous les trous à cette pute, on va la couvrir de foutre... On va lui pisser notre jus à la tronche à cette grosse truie. C’est tout ce qu’elle mérite. Tiens ! Fourrez-la-moi en 69. Je m’allongeai donc sur le dos et la femme vint écarter ses grosses cuisses au-dessus de mon visage. Ses gros seins caressaient mon abdomen. Mes mains écartaient son cul pour que j’aille bien à la foune où j’introduisis ma langue. Le petit Belge se mit en ordre de bataille et enfonça son gros vit dans le fion. Ses couilles venaient me chatouiller le nez. Sa dernière douche ne datait pas d’hier. Il sentait fort l’homme. Le tout, ...
... mélangé aux propres odeurs de la femme, formait un cocktail détonnant de fragrances de baise, très agréable pour mon odorat sensible et friand de ce genre de parfum. La meuf me bouffait la queue aussi vigoureusement que possible, ne s’interrompant que pour saisir le manche de son mari à genoux à côté. — Allez Jérémie, on change. Les couilles velues de Roger succédèrent donc à celles de Jérémie au-dessus de mon visage. Elles n’exerçaient pas pour moi un semblable attrait. — Alors gamin, comment tu la trouves ma femme ? T’en as déjà niqué de la grosse pute comme ça ? — Non M’sieur. — T’aimes ? — Oui, bien sûr. — Y a longtemps que tu t’étais pas fait les niveaux ? — Comment ça ? — Te vider les couilles, y a longtemps ? — Ben à part tout seul... — C’est mieux que la branlette ça hein ? — T’avais d’jà baisé en groupe ? — Rien qu’une fois... — Qui ? — Une cliente sur un chantier avec un employé, pendant que son mari était parti. — C’est bon ça... allez on change... fous-toi à quatre pattes chienne et tends bien ton cul. Nous la prîmes donc successivement, lui déchapant la chatte ou le cul à notre envie, ou passant de l’un à l’autre, pendant qu’un gars devant se faisait sucer la queue. A suivre.