1. Les Beltaynes (3)


    Datte: 24/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... provenance d’un numéro inconnu.
    
    « Jeanne M..., au sortir de votre examen de cet après-midi, vous vous rendrez au n°... de la rue... (à Versailles). Vous serez attendue à six heures précises. Nous ne souffrirons aucun délai car votre cas présente des caractères atypiques qui exigent un examen spécial. USBO. »
    
    USBO ? Ultima Sororis, évidemment, et pour la suite, Beltyaniensis Ordinem, peut-être ? Jeanne n’était pas trop sûre de ses compétences en latin. Elle sentait surtout son cœur palpiter. Elle se demanda si le SMS la troublait plus que la proximité de Guillaume. Elle l’appela par l’interphone.
    
    « Je t’ouvre », dit-il avant que le déclic de la serrure ne retentisse.
    
    À son étage, la porte de son studio était entrouverte. Jeanne y entra d’autorité. Guillaume l’attendait, debout, nu, une farouche érection exhibée avec fierté. Jeanne sourit en refermant la porte.
    
    « OK, direct », accepta-t-elle.
    
    « Bonjour, chérie », lui dit Guillaume.
    
    Dix secondes plus tard, le manteau et le sac abandonnés sur une chaise, elle s’agenouillait devant Guillaume et, gardant les mains croisées derrière le dos, enfonçait la verge dans sa bouche d’un preste mouvement du cou. Elle le suça ainsi, montant et redescendant sur le sexe dressé au gré des soupirs du garçon, puis, sans cesser son manège, entreprit de quitter ses vêtements. Il lui fallut se contorsionner un peu, et enfin interrompre cette fellation pour ôter ses bottes, son pantalon et sa culotte. Guillaume lui saisit le ...
    ... coude pour la relever mais Jeanne protesta :
    
    « Non. Sur la moquette. Direct.
    
    — OK », dit Guillaume en s’agenouillant près d’elle.
    
    Elle posa ses avant-bras sur le sol, se cambrant au maximum pour relever autant qu’elle le pouvait son petit cul tout rond et tout ferme de gymnaste confirmée.
    
    « En levrette, tu veux bien ? Je suis ouverte comme une chienne ce matin. »
    
    Elle était tellement excitée que Guillaume n’eut guère d’efforts à fournir. En quelques coups de reins, il repéra son point G, insista dessus à trois reprises, alors que ses couilles venaient battre en cadence sur le clitoris gonflé. Jeanne frémit sous la violence d’un orgasme sans appel. Elle haletait, captive de son plaisir, alors que Guillaume poursuivait ses va-et-vient, l’emmenant plus loin, encore plus loin, dans la jouissance. Puis ce fut comme si elle franchissait un col alpestre. Tout à coup, il n’y eut plus en elle que l’immensité azur d’un bonheur infini. Transfigurée, les yeux radieux, elle laissa échapper une seule voyelle, sonore et paisible comme un mantra hindou :
    
    « Aaaah... »
    
    Guillaume n’essaya même pas de se retenir. Un bouillon de sperme gicla au fond du vagin avec une telle violence qu’il rebondit et reflua. Jeanne aurait donné cinq ans de sa vie pour une pareille performance. L’intensité de leur relation les laissait tous deux tétanisés, comme assommés. Ils se regardèrent, toujours unis l’un à l’autre, et éclatèrent de rire.
    
    « C’est trop bon ! », s’exclama Guillaume.
    
    « Tu ...
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