1. Conte Noël qui se finit (commence) en juillet


    Datte: 21/05/2020, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, fsodo, conte, amourpass, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... être.
    
    Cela dura.
    
    Elle me maintenait à un haut état d’excitation mais sans jamais me permettre de jouir.
    
    Je compris son jeu quand soudain sa bouche fut remplacée par sa chatte humide.
    
    Elle s’empala sans précaution aucune et sans difficulté non plus.
    
    Fini la douceur.
    
    Chevauchée heurtée.
    
    Accélération forcenée.
    
    Ses mains plaquées contre mes épaules.
    
    Sa moule splashant contre mon pubis au rythme d’un marteau piqueur.
    
    Putain, elle me baisait.
    
    Splash, splash, splash !
    
    Ça résonnait dans ma tête !
    
    Foutre foutrement bon.
    
    Splash, splash, splash !
    
    Crache dans son vagin, tir continu.
    
    Corps en ébullition.
    
    Tension maximum.
    
    Ses ongles dans ma peau enfoncés jusqu’au sang.
    
    Contraction étranglée de ses lèvres.
    
    Ma queue en éruption prisonnière.
    
    Jouissance infinie.
    
    Cris mêlés.
    
    Silence.
    
    Pffffffffffffffff ! Impression de se dégonfler ! Euh, oui, pas qu’une impression. Mais pas seulement à cet endroit précis que rigoureusement ma mère interdit de nommer ici ! Sentiment que nos deux corps se ramollissent. Les seins de Sarah s’avachirent sur mon torse en sueur.
    
    Ses mains douces sur mon visage. Plénitude. Puis la phrase qui tue :
    
    — Vincent, c’était merveilleux ! Je t’aime.
    
    Réaction première, au-delà de la satisfaction primale d’avoir apparemment comblé les besoins charnels d’une jeunette, une grande joie à voir mes sentiments partagés. Même dans mes rêves le plus fous, je n’aurais pu imaginer tel dénouement. Après ses ...
    ... mots, elle se lova dans mes bras posant sa tête sur ma poitrine. Comme une enfant rassasiée, elle avait fermé les yeux, mis son pouce dans sa bouche et déjà sommeillait. Je n’osais plus bouger.
    
    Je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Les pensées tourbillonnaient dans ma tête. Le tombereau des emmerdes à venir se déversait dans mon esprit soudain rafraîchi. Que moi je l’aime, c’était pas bien grave. Mais qu’elle, à son âge, tombe amoureuse d’un vieux croûton comme moi… Cela ne pourrait durer et ça nous ferait beaucoup de mal ! J’allais devoir mettre les choses au point. Enfin ça attendrait demain matin…
    
    Dimanche matin
    
    Un baiser dans le cou me réveilla. Baiser qui se transporta rapidement sur ma poitrine, mes tétons. Humm, se laisser aller à ses caresses divines. Non, je devais me reprendre tout de suite. Si je… après ce serait trop tard. Je connaissais l’animal qui était en moi. Avec toute la délicatesse que je pus, je la repoussai :
    
    — Sarah, il faut qu’on parle.
    — Tu crois, roucoula-t-elle. On a mieux à faire.
    
    Déjà, elle tentait de reprendre ses baisers. Je la repoussai et récupérai mes lunettes. Son visage s’était fermé. Elle avait compris que tout ne se passait pas comme elle voulait.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ?
    
    Ouille, je sentais la colère apparaître dans son ton.
    
    — Il y a, Sarah que tu as vingt et que j’en ai soixante et que…
    — La belle affaire ! Qu’est-ce qu’on en a foutre ! On s’aime, c’est le principal !
    
    Oui je l’aimais ! Mais lui expliquer ce que ...
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