1. Lettres d'une femme mariée - 2


    Datte: 17/05/2020, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, journal, confession, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... là ! C’est tellement bon de me faire fourrer par mon gentil patron ! N’arrêtez pas… n’arrêtez pas, je vous en prie !
    
    Un moment, je perçus ces propos comme ridicules, comme issus d’un mauvais film X… et puis je me suis rendu compte que cela finalement l’excitait.
    
    — Vous aimez ça que je vous branle le fion avec mon pouce ? Vous êtes une petite épouse vicieuse ! Qu’est-ce que dirait votre mari s’il devait vous voir comme ça ? Et si je lui avais dit de venir vous chercher à l’agence ?
    — Je ne peux pas… Je ne veux pas que ça s’arrête, je n’en ai pas la force ! Je vous en supplie ! Je ne veux pas qu’il me voie ! Dites-moi que ce n’est pas vrai ! Dites-moi qu’il ne peut pas me voir !
    — Et pourquoi n’aurait-il pas le droit de voir sa petite femme chérie se faire doigter le cul par son patron ? Il a le droit de connaître la vérité !
    
    Je ne savais plus où était la part de jeu dans ce dialogue totalement irréel alors que, sous l’effet du plaisir qui montait en moi, j’étais désormais incapable de prononcer une phrase sans pouvoir m’interrompre…
    
    — Finissez-en ! Je n’en peux plus… S’il vous plaît, j’ai si peur qu’il… Je ne veux pas qu’il me voie ! Il ne pourrait pas… comprendre !
    
    C’est alors que quelqu’un frappa lourdement à la porte et je me sentis soudainement prise d’une peur panique ! J’aurais voulu me dérober, mais Michel m’attrapa la nuque pour me faire basculer plus en avant, mes fesses étant relevées dans une position plus obscène encore !
    
    Ce que j’entendis ...
    ... alors me glaça littéralement :
    
    — Entrez donc !
    
    J’étais comme paralysée, les jambes tendues, en train de me faire masser l’anus par mon patron, et brusquement je me disais que c’était toi… que Michel m’avait tendu un horrible piège qui témoignait bien de son esprit pervers et plutôt torturé !
    
    Lorsque la porte s’est entrouverte, je ne savais plus où me mettre ! Je venais de croiser le regard d’Andrew, le jeune hôte anglais de l’agence, qui apportait seulement un document. Il me parut d’un calme désarmant, comme s’il n’était pas surpris… et quitta la pièce, sans plus nous adresser le moindre regard, mais toujours avec cette prestance qui lui semblait décidément naturelle…
    
    — Pourquoi avez-vous fait ça ? Pourquoi m’avoir fait croire que c’était lui ?
    — Parce que j’avais envie de mesurer à quel point vous étiez à moi… Je voulais me rendre compte si vous pouviez vous dérober par peur… et puis j’ai vu que, malgré votre volonté, vous n’en étiez pas capable !
    
    Il avait décidément une assurance qui frôlait l’arrogance ! Mais je ne lui en voulais pas… j’avais finalement envie qu’il me parle ainsi… En définitive, le fait qu’Andrew nous ait vus, qu’il ait vu que j’étais la maîtresse de notre patron, ne me perturbait pas plus que cela… C’était un peu comme si cette aventure, dont je me demandais jusqu’ici si elle n’était pas seulement l’objet de mes rêves, venait de s’ancrer dans la réalité. Ma relation adultère n’existait plus uniquement par le secret que nous partagions, Michel ...
«12...789...15»