Entretien avec un esprit
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
forêt,
humilié(e),
contrainte,
Masturbation
fist,
nopéné,
nonéro,
fantastiqu,
sorcelleri,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... parviendra jamais au niveau de sa copine. À quelques centimètres de cette dernière, il se retrouve projeté en arrière et vole, littéralement, jusque dans les coussins de notre coin lecture.
Mélanie continue à se doigter et sourit, dévoilant ses ratiches pourries. Une grosse langue noire, nécrosée, couverte de pustules et de boutons infectés qui donneraient du fil à retordre à une équipe de dermatologues chevronnés, jaillit de sa bouche. Un autre doigt s’est inséré dans son sexe. Puis, la main entière pénètre sa chatte, l’entrée du vagin se refermant sur le poignet.
Frank est un peu sonné et se redresse péniblement.
Pauline, que j’ai complètement oubliée, est toujours accroupie dans un coin, le regard fuyant, ses lèvres agitées de tremblements. Elle bredouille quelque chose en boucle que je ne parviens pas à comprendre.
Mélanie pratique une séance defist fucking avec une ardeur que je n’ai jamais vue, même sur des vidéos estampilléesextreme hardcore et j’en viens à me demander comment elle a pu réussir à insérer sa main aussi facilement dans son minou, lorsque le démon – car je pense qu’il s’agit à ce moment-là bel et bien de ce genre de créature – me répond, comme s’il avait accès à mes pensées.
— Parce que Mélanie est une grosse cochonne qui aime les grosses queues, pas le truc flasque qui pend entre les jambes de ton pote. Tu aimes ça ? demande la créature de sa voix caverneuse et, subitement, la voix change.
Mélanie, cette fois-ci avec sa propre voix, ...
... répond à celui qui la possède :
— Je vous en prie, arrêtez, sanglote-t-elle. Je vous en suppl…
Mais la voix rocailleuse s’exprime à nouveau à travers elle :
— Tais-toi, truie, ou j’enfonce le bras jusqu’à l’épaule ! Tu vas jouir ! Je te sens tortiller du cul… et tu mouilles, ma petite morue, déclare le démon qui extirpe la main de la vulve béante de Mélanie.
La tête penchée de manière obscène, Mélanie observe un instant son poing qui luit de sécrétions. Puis, sous nos yeux révulsés, elle se décroche la mâchoire à la manière d’un serpent, et enfourne la main et la moitié de l’avant-bras au fond de sa gorge qu’elle aspire comme s’il s’agissait de la bite d’un titan. Les bruits de succion qui accompagnent cette effroyable gorge profonde me hantent encore quand une demoiselle me fait une pipe un peu trop baveuse. Après quelques haut-le-cœur, le bras ressort, couvert de filets de bave, et la mâchoire de Mélanie se remet en place d’elle-même en produisant uncloc qui fait grincer les dents.
Le démon, devant nos visages frappés de terreur, s’esclaffe et déclare :
— C’est bien de la cyprine. Tu vois, Jérôme, je te l’avais dit. Elle mouille, la petite pouffiasse ! Tu veux goûter ? dit-il en glissant dans les airs vers moi, le bras souillé en avant.
Tout ceci en est trop et, sans vraiment m’en rendre compte ni même en prendre la décision, je me rue hors de la cabane et fonce dans le bois, ne me préoccupant pas des branches qui me cinglent le visage ni des ronces qui ...