1. Le coup de la panne


    Datte: 16/05/2020, Catégories: fh, hplusag, campagne, autostop, amour, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Aiga, Source: Revebebe

    ... poser les lèvres, et elle se demanda quel goût elle pouvait bien avoir. Quand il se tourna pour aller examiner le moteur, elle résista à l’envie de caresser sa nuque du bout des doigts. « Ça suffit, idiote. Il a vingt ans de plus que toi, qu’est-ce que tu crois ? » Le capot était toujours levé, elle se plaça sur le côté pendant qu’il scrutait le moteur. Elle l’observait à la dérobée. Son cou, ses pommettes saillantes, son menton fraîchement rasé, ses oreilles qu’elle avait envie de mordre… « Bon, stop maintenant ! »
    
    — Alors, vous pensez que c’est quoi ?
    — Votre batterie est morte, je crois bien.
    
    Il la regarda alors dans les yeux pour la première fois, et elle sentit soudain une décharge électrique traverser son corps. Ces pupilles noires… Elle tomba en elles, s’y noya, se vit haletante et passionnée. Il s’approcha, tout près d’elle, et murmura :
    
    — Je vais devoir vous emmener…
    
    « Emmène-moi… » Il saisit sa taille fine de ses deux mains puissantes, et la colla contre lui. Elle s’abandonna à son étreinte, et leva le visage vers ses yeux, ces deux trous noirs qui la fascinaient. Il posa, un peu brutalement, ses lèvres sur les siennes. Cannelle. Il avait le goût de cannelle. Il l’enlaçait à présent, ses mains se promenant librement sur son corps, son dos, sa nuque, ses hanches, ses fesses. L’une d’elles remonta jusqu’à son sein gauche, et s’en saisit, d’une façon terriblement excitante. Elle découvrait son corps, son fessier musclé, son dos noueux, les petits cheveux ...
    ... de son cou, ses lobes d’oreilles qu’elle pouvait enfin mordiller. Elle caressa de ses lèvres charnues toute la peau qu’elle pouvait atteindre, si douce, si parfumée.
    
    Passant les mains sous sa chemise, elle explora son torse large, tandis qu’il la pressait contre lui. Elle pouvait sentir l’effet qu’elle lui faisait, ce qui l’excitait encore davantage. Doucement, mais sûrement, elle descendit ses doigts délicats jusqu’à sa ceinture, la défit avec fébrilité, puis les boutons, et elle passa enfin sa main dans l’entrejambe du pantalon. Il soupira, comme si elle l’avait libéré d’un carcan. Elle lui jeta un regard impérieux qui signifiait « laisse-toi faire » et s’agenouilla sur l’herbe tendre. Elle baissa le caleçon moulant et fit émerger l’objet de son désir, qu’elle contempla un instant avant de l’embrasser, doucement mais fermement, puis de le lécher de la pointe de la langue. Il agrippa son épaule, comme pour lui faire comprendre à quel point il appréciait ce qu’elle faisait. Alors seulement elle le prit entièrement en bouche, et commença lentement à faire un mouvement de va-et-vient, tout en continuant de lécher le membre dur et brûlant comme une pierre de lave.
    
    Il lui saisit le menton pour la faire cesser. Oui, elle aussi elle le voulait en elle. Elle se remit debout, et il la fit pivoter pour la placer dos à lui. Elle n’opposa aucune résistance quand il souleva sa jupe de tailleur pour ôter sa culotte en dentelle rouge, ni quand il mordilla la peau sensible du haut de ...