1. Les machinations de Laure (4)


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... salopard.
    
    Alain se pencha vers moi :
    
    — Cette fille, Franck...
    
    Je hochais la tête alors qu’Alain poursuivait :
    
    — Je payerai cher pour être à la place de ce garçon-là tout de suite. Il doit voir sa chatte en contre-plongée... Une merveille...
    
    Salomé ajouta :
    
    — Je me venge ce soir.
    
    — On va t’y aider, chérie, ajouta Laure. Enfin, si Hello est d’accord, évidemment. J’ai une idée.
    
    — Hon ! Hon, cria Malo, mais personne ne s’inquiétait de lui.
    
    Hello, d’un bref signe de tête, encouragea Laure à parler.
    
    — Toi, Salomé, tu vas faire ce que tu as à faire sur le canapé. Nous, on va installer notre ami juste en face, sur ce fauteuil, bien attaché pour qu’il puisse bien tout voir mais qu’il ne puisse rien faire. Et puis, pendant que tu seras en train de devenir une femme, ma chérie, Hello et moi on le sucera, et peut-être même qu’on se le baisera, tu comprends ? Comme ça, il associera ce spectacle de toi en train de te faire sauter à une sensation agréable, et il ne t’ennuiera plus jamais.
    
    Salomé éclata de rire :
    
    — Amis psychologues de comptoir, bonjour !
    
    — Si tu préfères, on peut juste le forcer à te regarder.
    
    — Non, non. Faites ce que tu as dit. On verra bien. S’il se met à bander, c’est qu’au fond, ça ne lui déplaît pas de me regarder m’envoyer des mecs. Au moins, ça le fera réfléchir.
    
    — Il y a juste un truc, intervins-je. Nous, sur le canapé, on verra Malo et sa petite gueule, mais on ne vous verra vous, Hello et toi, que de dos, et surtout ...
    ... vous, les filles, vous verrez Malo mais vous ne verrez pas Salomé déguster sa vengeance. Je trouve ça dommage.
    
    — J’y ai pensé, dit Laure. Il y a toujours le grand miroir à l’étage, non ?
    
    Je me tournai vers Alain :
    
    — Tu m’aides à le descendre ? Ce truc pèse une tonne.
    
    Alain, totalement subjugué par Salomé, opina du chef sans quitter la jolie brune des yeux. Dix minutes plus tard, tout était en place. Nous avions placé la psyché de telle sorte que, par reflet interposé, tout le monde pouvait tout observer. Alain et moi avions aussi installé Malo. Comme il s’était montré rétif et qu’en se tortillant il avait tenté de s’extraire du fauteuil, nous avions dû le maltraiter un peu afin qu’il se calme, nous laissant ainsi le temps de le ligoter au siège. Une lèvre enflée, un œil poché : il s’en remettrait vite. D’ailleurs, ce petit con m’avait tellement humilié avec son fric facilement gagné, ces dernières semaines, que je ne nierai pas avoir pris un peu de plaisir à lui remettre les idées en place. Nous avions quand même demandé la permission à Salomé, qui nous avait répondu, l’œil étincelant :
    
    — Défoulez-vous. Qu’il comprenne ce qu’a subi Enzo.
    
    — Enzo ? demanda Alain.
    
    — Mon petit ami de collège. Que ses salopards ont tabassé. Allez-y, les mecs. Faites-lui comprendre.
    
    Je regardai Alain. Cette fois, j’en étais sûr : il commençait à éprouver pour Salomé une passion analogue à celle que j’éprouvais pour Hello. Le petit interlude de manutention avait calmé nos ...
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