1. Cécile, l’ingénue triomphante


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds

    ... la salle était presque vide. Les deux serveuses s’en donnèrent à coeur joie pour rivaliser d’oeillades et de malice dans un ballet grotesque autour de sa table.
    
    Ce ne fut que boutons de corsage volontairement rebelles pour ouvrir des perspectives sur les dentelles gonflées par leurs seins volumineux ; hanches ondulant comme des navires sur une mer démontée ; frôlements de tissus imprégnés à l’exagération de parfums aussi bon marché que tenaces ; bouches arrondies avec gourmandise autour du crayon pour prendre commande ; soupirs et pâmoisons à chaque occasion. Notre Roger ne savait plus où mettre son regard… Ou plutôt si et ce ne fut pas du goût des deux gourgandines. Car, fatigué du spectacle ridicule d’indiscrétion auquel se livraient sans vergogne Maryline et Jennifer, ce qui retint son attention c’était le visage de Cécile à la réception qu’il observait par la porte ouverte de la salle de restaurant, plongé dans un monde songeur dont il aurait bien voulu connaître la clef.
    
    En fait, Cécile pensait à son retour au Lycée qui était tout proche et à ce garçon avec qui elle avait accepter de « sortir » parce que c’était le premier qui lui avait manifesté un intérêt. Jusqu’à ce moment, sa timidité et le manque de confiance en son pouvoir de plaire avaient fait d’elle une fille repliée sur elle-même. Très vite elle avait voulu se donner entièrement à lui de peur de le voir se lasser et de l’abandonner. Il avait ce jour-là emprunté la voiture de son père et elle s’était ...
    ... laissée bousculer sur la banquette arrière. Il l’y avait prise sommairement et sans précautions aucunes. Elle fut très déçue de ne ressentir qu’un éclair de douleur sous les halètements du garçon s’agitant sur son corps sans qu’elle ne ressentît ce plaisir qu’elle éprouvait dans ses masturbations solitaires. Ce qui devait être dans ses espoirs une fête se transforma en cauchemar quand le petit mâle maladroit découvrit que la banquette arrière de la Mercedes de son père était maculée de sang. Depuis, elle s’était recroquevillée dans sa coquille de femme-enfant. Cette situation s’était aggravée pendant ce stage où les deux serveuses qui avaient bien perçues le danger que représentait le charme en devenir de la jeune fille s’étaient liguées pour la rabaisser constamment en l’affublant du sobriquet de « la jouvencelle ».
    
    Roger, qui avait pensé pendant son long voyage aux culs respectifs de Maryline et Jennifer, assises sur le lit à quatre pattes pendant qu’il les sodomisait tour à tour, passant des grosses fesses de la blonde au petit derrière pommé de la brune en leur arrachant à chaque fois des cris stridents de chattes en chaleur, commençait à porter son attention ailleurs, ne quittant plus l’image de jeune madone de la réceptionniste. Lorsque les deux délurées vinrent à la fin du repas lui demander en coeur s’il fallait lui apporter un vieux calvados dans sa chambre (c’était le signal habituel convenu pour le rejoindre), il leur répondit que le voyage l’avait épuisé et qu’il ...
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