Week-end surprise
Datte: 13/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
couplus,
hotel,
photofilm,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
initff,
couple+f,
Auteur: Martine-Martine, Source: Revebebe
... lui dis en aparté :
— Si tu as des suggestions, des idées, tu n’hésites pas. Tu connais mon schéma, rencontre, séduction, prise de conscience, premier geste, etc.
— Pas de problème, tu sais que j’ai l’imagination galopante.
— Oui justement, mais moi, je marche au pas, volontairement.
— Alors je te suivrais pas à pas !
M’adressant à Christine et Laure :
— Mesdames, Christine est habituée ; mais Laure, je t’indique la situation, tu ne me regardes pas, tu ne souris pas, du moins pas comme sur les photos de vacances, pas de « schiiiise » ni de « ouistiti ». Je t’indiquerai si tu dois la regarder ou fermer les yeux. De toute façon, tu vas te rendre compte au bout de dix minutes ce qu’il faut naturellement faire.
Je leur indique le canapé, verse le champagne dans les quatre coupes et tout le monde trinque à la réussite de la séance. L’appareil photo prêt, je donne mes premières indications.
— Pour commencer, asseyez-vous sur le canapé, discussion détendue.
Regards amicaux. Je commence à déclencher, trois ou quatre fois.
Je rectifie une position chez Laure, je demande à Christine de se mettre plus au fond du canapé et de serrer les jambes.
Encore cinq photos en tournant autour de mes modèles, elles discutent pour de vrai, très à l’aise. Les coupes finies, Martine leur enlève. Je demande aux filles d’arrêter de parler et de se regarder d’une façon plus attentive, plus soutenue.
— Laure, tu lui prends la main comme pour lui lire les lignes de son ...
... avenir. Tu gardes sa main et tu la regardes en silence tendrement, puis tu poses le dos de tes doigts sur sa joue, geste amical et sans arrière pensée.
Laure va trop vite, je dois la freiner.
— Doucement, laisse-moi le temps de faire les photos. Quand j’ai fait ce que je veux, je dis oui, ça veut dire que l’on peut avancer dans la direction indiquée.
— Excuse-moi, je vais m’appliquer…
— Nous reprenons la scène. Christine est surprise de la douceur du contact. Comme elle ne réagit pas, tu insistes, avec un doux sourire, comme pour lui dire : « N’aie pas peur, tu es belle ».
D’instinct, Christine lui sourit comme pour t’encourager.
— Tu te rapproches d’elle, tu te penches et déposes un baiser dans son cou. Tu restes là, multiplies les baisers en t’appliquant à être douce comme pour ne pas l’effaroucher, comme d’une biche dont on s’approche avec précaution pour qu’elle ne fuie pas. Bien… Tu lui prends maintenant les deux mains dans les tiennes, tu lui souris, oui, doucement, et tu déposes un baiser sur sa joue, et lentement plus près de ses lèvres.
L’œil rivé à l’objectif, je vois en gros plan leurs regards qui se cherchent, leurs sourires qui se font complices, une connivence naissante mais, ô combien troublante. Il me faut la traduire en photo.
— Tu poses une main sur son genou. Ne bouge pas, oui, tu lui remontes un peu sa jupe, ta main glisse vers l’intérieur de sa jambe, lentement, appréciant le soyeux de la peau.
Christine ferme les yeux un instant, comme ...