La tentatrice infernale (2)
Datte: 11/05/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Fantasmeur6975, Source: Xstory
... Libres, loin des leurs, certains n’hésitent pas à totalement se lâcher.
— C’est chaud, me glissa Léona, elle aussi éméchée.
Elle se leva et dansa. Elle éclipsa toutes les autres danseuses avec ses mouvements lascifs. Je compris qu’elle voulait elle aussi profiter de cette parenthèse pour se détendre, oublier ses problèmes. Deux commerciaux en profitèrent, se collèrent à elle. Et je dois avouer que je ressentis de la jalousie à ce moment-là.
Je saluais mon équipe et m’éclipsais. Je savais que ma présence les empêchait de jouir pleinement de ces moments.
Une heure plus tard, alors que je m’étais douché et couché, je les entendis regagner leurs chambres, riant, chantant.
Une autre heure passa et, alors que je m’endormais, j’entendis gratter à ma porte. Je me levai, l’ouvris : personne. Pourtant, les grattements étaient encore audibles. Je vis alors une autre porte. Je la déverrouillai. Léona se trouvait là, en robe de chambre.
— Nos chambres communiquent. Je ne le savais pas quand j’ai réservé, je vous le jure.
— OK
— Je vous ai réveillé ?
— Non... Je ne dormais pas.
— Je... Je n’arrive pas à dormir non plus. Je n’ai pas l’habitude de dormir seule.
— Et ?
— Heu... Peut-on laisser cette porte ouverte ? Ca me rassurerait.
— Bon... d’accord.
Elle me remercia.
Je retournai à mon lit. De là où j’étais, je pouvais voir une partie de sa chambre dans le miroir situé sur le mur à ma droite. Je m’interdis de regarder mais, après quelques ...
... minutes, troublé par sa présence si proche, je n’y tins plus.
Et je la vis sortir de la douche, s’essuyer les cheveux, puis nue, enfiler une nuisette transparente.
Savait-elle que je pouvais l’observer ? Je sentis ma queue gonfler et commençais à me caresser.
Puis elle passa la tête dans ma chambre.
— Je vais me faire une verveine. Vous en voulez une ?
— Oui, répondis-je, conscient que j’aurais dû refuser.
Elle revint couverte de sa robe de chambre et avec deux tasses. Je me redressai en saisis une. Elle s’assit sur le bord du lit.
— Deux de vos hommes sont venus frapper à ma porte tout à l’heure, dit-elle en riant.
— Je m‘en doute.
— Je ne leur ai pas ouvert, bien sûr. Mais c’est un beau bordel, j’en suis sûr, dans les chambres voisines.
Elle termina sa tasse la posa et je vis la robe de chambre s’écarter et laisser apparaître le haut de sa cuisse.
— Je peux rester encore un peu ? demanda-t-elle.
— Il est tard.
— Je sais.
Elle plongea ses yeux dans les miens.
— J’étais bien tout à l’heure dans vos bras, murmura-t-elle.
Et sans prévenir elle se coucha et se blottit contre moi.
— Ce n’est pas...
— Raisonnable, je sais. Mais je veux juste rester un moment comme ça.
— Bon, un moment.
Elle souleva les draps et se glissa dans le lit.
Je sentis la chaleur de son corps. Et toutes les images qui m’avaient jusqu’alors hanté me revinrent à l’esprit.
Elle se tourna et colla ses fesses contre moi.
— Vous bandez, ...