La petite femelle (3)
Datte: 11/05/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... Sensibles à la langue et aux doigts, elles sont pour moi et pour mes partenaires comme deux clitoris supplémentaires, excitables et jouissifs autant que celui du sexe.
Je caresse langoureusement mes seins. Je tire sur mes tétons. Je presse un peu les globes, comme je le ferai d’une orange bien mûre pour en faire sortir du jus… Pour le jus de mes deux fruits, je ne pense pas à du lait, j’imagine un jus sucré, collant et suintant comme de la résine de pin chaude, enivrant comme un alcool fort. Un truc plus explosif que n’importe quelle drogue existante…
Puis mon strip-tease continue. Mes jambes se lèvent, très haut, largement écartées. Je me caresse à travers le tissu de ma culotte. Puis la pièce de lingerie finit par atterrir sur le canapé où il est assis. La sieste va être torride…
— Viens, me dit-il !
Il m’entraine vers ma chambre et mon lit. Derrière les volets clos, des rideaux de lins pendent. J’ai un lit à barreaux. Parfois, quand je suis seule, entre le pouce et le second orteil, je masse un des barreaux et mon esprit vagabonde. J’imagine une dizaine de bites bien verticales, que je peux ainsi branler tour à tour, allongée à plat ventre sur le drap bien tiré… C’est justement la position qu’il m’ordonne de prendre.
Je suis maintenant entièrement nue, bras remontés de part et d’autre de la tête, poings fermés, yeux clos, cuisses écartées sur un sexe invitant à un coït brutal.
Il enfonce sa langue dans ma fourche, se met à me lécher la moule pour que ça ...
... gonfle, pour que ça s’ouvre, les grandes lèvres sombres plaquées sur les côtés. Sa langue fouille ma fleur rose et écarte ses pétales. En même temps, il griffe assez fortement ses reins et ses hanches. Il a su très vite que j’aime ça !
Il me prend les poignets et, d’une main forte, les maintient vigoureusement aux creux de mes reins. Sa langue se colle à ma petite corolle plissée, puis s’insinue le plus loin possible.
Il alterne les caresses buccales et les claques violentes sur mes fesses. Je commence à geindre. Il pose une main sur sa bouche. Je la lèche, je la mordille, bredouille des mots crus et obscènes tout en laissant remonter les émanations de ma vulve de plus en plus poisseuse.
Lui fourrage encore de sa langue tout au long de ma raie ouverte, tandis que ses ongles laissent sur mes fesses de longues éraflures roses. Il reprend les lapements de ma chatte. Je cambre mon cul qu’il claque de nouveau avec force. Mes globes rougissent et sa bouche baveuse retourne entre mes cuisses.
La tête dans l’oreiller, je suffoque. Je suis parvenue à un état second qui me semble durer une délicieuse éternité. Je prononce des paroles saccadées, des mots orduriers qui me libèrent.
— Oui, vas-y salaud… T’es le meilleur des putains de pervers que je connaisse… Oui, prend-moi… Baise-moi par tous les trous… Défonce-moi !
Son pouce fore brusquement mon bouton de rose et pénètre au plus profond. Il m’administre dans le même temps une bruyante et joyeuse fessée. Je serre mes ...