La petite femelle (3)
Datte: 11/05/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... pressé !
Au bout de 2 à 3 minutes, je décroise les jambes et tourne mon visage vers le mur opposé au canapé où je suis assis. Mon bras droit est appuyé sur le dossier arrondi. Ma cuisse droite est posée en travers du siège, tandis que la gauche touche à peine la chaise. Mon pied gauche n’est en appui sur le parquet que par le bout de ma chaussure. La pointe de mon talon aiguille est largement décollée du sol. J’essaye que la position choisie soit encore plus délicieuse et suggestive que celle de la première découverte.
Je montre volontairement la rondeur accorte de mon postérieur dont les courbes ont toujours captivé tous les hommes que j’ai rencontrés ou même croisés. De mon côté, mettre en valeur mon cul m’a toujours procuré d’exquises et savoureuses sensations. La ceinture du porte-jarretelles est très large sur ma hanche, jusqu’à la lanière tirée sur le côté de ma fesse, puis très fine sur la partie postérieure. A peine recouverte par endroit par le bas du pull en cachemire, je dévoile entièrement une ravissante culotte de dentelle noire, agrémentée d’un petit nœud rose dont la couleur fait écho aux fleurs roses et blanches du bouquet. La culotte, qu’il découvre aussi pour la première fois, est constituée d’un tissu plein d’excitante transparence, sur lequel est dessiné un harmonieux motif floral. Une ligne noire, semblable à la couture des bas, part du nœud rose, sépare nettement mes deux muscles fessiers et descend se perdre entre les cuisses, là où je suis ...
... bien chaude et humide, là où son œil cherche à pénétrer, là où sa main a très envie de s’aventurer…
Allumeuse jusqu’au bout, je finis par poser le journal à côté de ma tasse. Je me tourne vers lui et lui sourit. Un collier de perles blanches, faisant deux boucles d’inégales longueurs, ajoute au chic de ma tenue. Mon poignet droit est aussi entouré de trois rangs de perles. Mes cuisses s’ouvrent pour se refermer presque aussitôt.
Mon pull en cachemire, savamment tiraillé par mes deux jolies mains, découvre l’épaule droite, fine et ronde, libre de toute bretelle de soutien-gorge. Un autre mouvement enchaîné, excitante montée du tissu gris, dévoile la hanche droite, couronnée par la large ceinture noire du porte-jarretelles. Le pull finit passe enfin par-dessus ma tête, donnant à voir deux petits seins ronds et fermes.
J’ai des bouts de nichons qui l’excitent terriblement, il me l’a dit et répété. Imaginez de gros et très longs tétons entourés d’aréoles bien rondes (la gauche a un diamètre très légèrement supérieur à celui de sa cousine), dont l’agréable couleur rose lilas contraste avec la blancheur des seins. Moi je préfère dire « des tétines ». Je trouve ce mot peu élégant mais il a au moins le mérite de traduire avec justesse l’irrésistible envie que les hommes ont toujours de les prendre en bouche. Deux framboises grenues, roses et fermes comme des fruits en pleine maturation, qui poussent à vue d’œil lorsqu’elles sont arrosées de chaude salive et de mots salaces. ...