1. "Le piège" (6)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... réveillait pas... je décidai de continuer mon exploration plus intime. Je passai un doigt sur le sillon fessier, tout était plutôt humide. Puis l’entrée de l’anus, dégoulinant d’une matière gluante.
    
    Putain, non ! Cécile avait été enculée et plusieurs fois, d’après le flot de sperme qui lui avait dégouliné de la rondelle. Je présentai un doigt sur celle-ci. Le passage était très dilaté. J’y entrais deux doigts très facilement. Je passai ensuite mes doigts sur l’abricot, lui aussi très dilaté, “occupé” par un godemiché en latex de belle facture... avec toujours une grosse quantité de sperme qui en coulait. Ma femme avait été baisée dans les grandes largeurs.
    
    J’étais de plus en plus excité, une boule à l’estomac... Alors je suivis la courbe des hanches et touchai son sein droit. Le téton était dur et tendu. Ma femme était encore excitée de sa séance de baise... Il n’y avait plus de doute... ma femme avait été partouzée par les trois salopards, et plusieurs fois encore ! J’approchai ma tête de la sienne et sentis une odeur de whisky. Putain ils l’avaient fait boire ! Mais alors que penser ? Tout s’était-il déroulé avec son consentement ?
    
    Un doute horrible s’insinua dans mon esprit quand je sentis l’angle bizarre formé par ses bras. Cécile était attachée par les poignets aux montants du lit.
    
    Mon portable vibra à cet instant : un SMS de Ruiz.
    
    — Putain mais quelle chienne ta femme, on l’a baisée pendant plus d’une heure et elle en voulait encore la salope. Un ...
    ... extrait de l’action, l’ensemble demain.”
    
    Suivait une courte vidéo d’une minute. Je me levai doucement et allai voir cela dans la chambre la plus éloignée.
    
    Ma femme était prise en levrette, sur notre lit, en porte-jarretelles, elle se faisait ramoner la chatte par le gros Alban, nu comme un vers, pendant que Ruiz lui, se faisait sucer et que Lucien lui caressait les seins. Ma femme telle une démente, criait sa jouissance :
    
    — Oui, vas-y plus fort, je la sens ta queue énorme dans ma chatte. Vas-y, je veux me faire prendre par deux bites en même temps ! “
    
    Pas de doute elle adorait ça. Jamais elle n’avait employé de telles expressions pendant nos rapports. Retournant dans la chambre, je revins avec une lampe de poche et scrutai la scène, dans le détail. Les draps tout retournés ; ma femme le cul en l’air, jambes et bras attachés, des traces de cyprine et de sperme partout sur les draps ! Et une bouteille de whisky sur la table de chevet. Ma femme avait dû demander à boire pour se donner du courage, mais après la première pénétration, cela avait dû être du tonnerre. Je me penchai sur son petit trou, rougi et déformé par les sexes qui l’avaient pénétrée. Elle, qui n’avait jamais été sodomisée. Une pulsion me saisit. Je me déshabillai et le sexe avec une érection très dure, je le présentai près de la rondelle. Je me disais qu’elle devait encore être sous le coup de l’ivresse alcoolique.
    
    Je l’enculai très facilement, guidé par le sperme de mes prédécesseurs ; c’était trop ...