"Le piège" (6)
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... noire très transparente... et pas de culotte. Le petit buisson blond était bien visible, de même que les pointes de ses seins. Ce n’était pas le genre de la maison...était-ce la tenue d’une femme qui craignait une visite nocturne... ou un appel à la luxure ?
À première vue les choses s’annonçaient bien. Quant à moi, après avoir vérifié qu’elle dormait bien, je sortis discrètement et laissai la porte-fenêtre contre le battant. Ruiz et ses potes n’auraient qu’à pousser pour entrer.
Je me sentais un peu mal : laisser sa femme endormie et presque nue entre les mains de trois obsédés sexuels n’était pas très glorieux... mais je n’avais pas le choix, si je voulais conserver ma liaison privilégiée avec Simone ! Et sauver mon mariage !
J’avais confiance en Ruiz, je savais qu’elle ne serait pas "forcée", et qu’il savait s’y prendre pour embobiner ma femme. Comme il l’avait fait depuis le début. En fin de compte, j’étais tombé dans son piège !
Alors comme les autres fois, je rejoignis Simone dans la carrière, et la baisai comme un forcené. Mais en réalité, mon esprit était ailleurs. Je n’arrêtais pas de penser à ce qui se passait dans la chambre à coucher... ma femme était-elle en train de se faire partouzer, pour la première fois de sa vie, nue au milieu des trois mecs au sexe dressé ?
Pendant que je besognais Simone, j’imaginais Cécile prise en levrette, deux autres sexes devant sa bouche... ma femme prise par trois mecs en même temps ! Et cela me procurait une ...
... excitation malsaine.
J’ai baisé Simone 5 fois, tellement j’étais excité... plus par ce qui arrivait à ma femme, que par l’excitation donnée par Simone. Enfin ce fut divin !
J’attendis sous les étoiles que le temps passe. Il ne fallait pas que j’interrompe quelque chose.
Enfin vers 3 heures du matin, je me dirigeai à petits pas vers mon domicile. La porte-fenêtre était complètement ouverte. Risquant une oreille, je n’entendis rien... les trois gougnafiers étaient sûrement partis... après avoir fait sa fête à ma femme. Je devais avouer que j’étais extrêmement excité, je rebandais déjà. Qu’allais-je trouver à l’étage ?
Je me glissai sur le lit très doucement, ma femme émettait un léger ronflement et gémissait dans son sommeil. À tâtons, car il y avait une obscurité légère, atténuée par le clair de lune, je tentai de toucher son corps endormi. Elle avait le sommeil profond. Avec la main, je repérai une cuisse.
La peau n’était pas nue. Je sentis le crissement de la soie sous mes doigts. Ma femme portait des bas !
Je continuai mon exploration un peu plus haut, pour découvrir une fesse, barrée d’une jarretelle ! Oh putain, la salope était donc en bas et porte-jarretelles... pour se faire baiser ? Ma main continua vers le haut du bassin, effectivement je sentis le toucher du porte-jarretelles, puis la peau nue et sa nuisette tire-bouchonnée sur les hanches. Les seins étaient nus.
Ma femme dormait sur le ventre au-dessus des draps, les cuisses bien écartées. Elle ne se ...