1. Mariage (1)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: angenoir75, Source: Xstory

    ... me laisser aucune marge. Notre relation n’a rien à voir avec une relation Maîtresse esclave, je peux la mettre en boîte, nous avons des fous rires, et même parfois je m’énerve contre elle. Je n’aime pas cela en fait, et elle encore moins, je suppose qu’à l’avenir, ce sera de plus en plus rare. Ce soir après un échange très vif, je rêve qu’elle me fouette pendant des jours au sang, qu’elle m’envoie en stage chez une jeune domina hyper-sadique que j’ai trouvée, pour me punir, et surtout m’empêcher d’avoir cette attitude.
    
    Je ne lui dis rien, elle est fâchée contre moi et sans se cacher, se masturbe plusieurs fois avant de dormir. J’ignore à cet instant qu’elle a les mêmes envies que moi et qu’elle a joui sur ces images.
    
    Notre relation prend un nouvel élan lorsqu’elle part une dizaine de jours chez sa mère. C’est paradoxal puisque nous sommes séparés et elle désire alors affirmer encore plus son autorité en ne me laissant aucune liberté. Avant de partir, elle m’enfonce le mandrin en bois qui me scie en deux, et le cadenasse. Je n’imagine pas pouvoir et devoir le porter ainsi les 10 jours, mais elle a pensé à tout, et la clé est enfermée dans une boîte cadenas qui se déverrouille suivant une programmation. Je vois avec effroi qu’elle programme deux jours pour la clé, avant de me sourire affectueusement. Il y a une autre clé, d’un petit cadenas avec. C’est ce cadenas qui ferme la ...
    ... cagoule en cuir qu’elle me serre très fortement autour de la tête, comme un corset, la tension est folle, le collier serré, la pression me monte à la tête, je vois mal les trous de la cagoule qui sont minuscules. Je devrais faire avec, comme avec le mince trou qui perce le bâillon et qui me permettra de boire pendant ces deux jours.
    
    La douleur et la dureté du gode sont si intenses que je n’arrive pas à me tenir debout, et c’est à 4 pattes que je la vois partir, me demandant ce que je vais devenir. Je pensais à 10 jours de vacances et de jouissance et c’est bien mal parti. Je ne pense qu’à ce manchon qui me perfore, à me concentrer sur ma respiration difficile, et à mon sexe, qui ne rêve que de déborder de sa minuscule cache tant je suis excité de cette situation. Non des souffrances, mais de savoir qu’elle m’impose ces souffrances, que c’est son plaisir, son envie, et que c’est moi qu’elle a choisi de faire souffrir ainsi. Je n’ai que mon téléphone pour faire passer le temps, rien d’autre ne m’est possible, sans même que quoi que ce soit me soit interdit. Je ne peux que penser à ma situation dégradante et humiliante.
    
    Pendant ces 10 jours les volets et rideaux doivent rester fermés, je n’ai pas l’autorisation de sortir, d’ailleurs la clé de la maison ne m’est pas accessible et elle a fermé avant de partir, je n’ai le droit de rien, ni télévision, ni ordinateur, juste mon téléphone. 
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