Mariage (1)
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: angenoir75, Source: Xstory
Ma fiancée avait été très claire et c’est en connaissance de cause que nous nous sommes mariés à la mairie, en petit comité familial, pour mon plus grand bonheur. Si je lui ai passé une alliance en diamant au doigt, la sienne a été passée plus tard dans la soirée, dans notre intimité. Nous ne sommes pas prêts à ce que cela soit au grand jour, mais peut-être un jour cela viendra-t-il. Elle a décidé que son mari devait porter une cage de chasteté en permanence, libre à elle d’utiliser mon sexe quand cela lui convient, ou un autre quand elle le désire.
Il est clair que dans notre relation, elle a tous les droits, et après la naissance de notre enfant antérieurement à notre union, ne voit plus bien l’intérêt d’utiliser ma queue, sinon pour asseoir son autorité, me torturer, et me voir ramper à ses pieds que je dois embrasser avec dévotion. Et hors de question de penser que je puisse jouir dans son dos en me caressant seul et bien entendu, aucune infidélité conjugale n’est possible. Elle sait comme j’aime les femmes et a décidé qu’elle serait l’unique et la dernière, si tant est que j’ai l’honneur de pouvoir la pénétrer à nouveau. Ce qu’elle n’envisage en fait plus du tout, une fois le premier cadenas fermé. Moi je pense qu’elle bluffe, ce qui est ma première erreur.
Ma cage est serrée, que ce soit à la base du sexe, ou en longueur. Mon sexe est écrasé contre le grillage sans même que je bande, et paraît ridicule, deux centimètres peut-être, et fait ressortir la grosseur de ...
... mes couilles. Une chaîne cadenassée autour de la taille, très serrée, empêche tout mouvement de la cage collée contre mon bas-ventre, la pression est forte et permanente. Les possibilités classiques de s’échapper avec une telle cage réduite à néant. Je le savais, je m’y attendais, et je suis heureux de lui offrir ce gage d’amour et de soumission. Détail supplémentaire, elle vient cadenasser à la base de l’anneau du sexe une chaîne très tendue qui passe entre mes fesses, pressant fortement le cul. Je suis complètement entravé, plus rien ne bouge. La tension que je sens dans ma raie m’excite malgré moi.
Cette chaîne va m’obliger à lui demander chaque jour de m’ouvrir pour que je puisse me soulager les intestins, c’est très humiliant et elle adore cela. Mon cul doit être rutilant quand elle me remet la chaîne et elle a préparé plusieurs godes pour le remplir avant de le cadenasser. Certains sont raisonnables, de la taille d’un gros sexe, mais d’autres dépassent les 7 centimètres de diamètre et 30 centimètres de profondeur. Celui qui me fait le plus peur est un mandrin en bois, percé en bout pour que la chaîne puisse coulisser, qui me fendra en deux pendant les heures ou les jours qu’elle m’imposera.
Pour parachever son œuvre, ma femme enserre mes couilles volumineuses dans un puis deux bracelets d’esclave en métal qui viennent les étirer. Dans un an, me promet-elle, j’en porterai un de plus pour progressivement que mes couilles descendent de plus en plus loin. Elle me dit ...