1. Déception


    Datte: 05/04/2018, Catégories: fh, amour, fist, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... cuisine.
    
    Le dîner a été parfait, excellent menu, conversation éblouissante de la part de l’invité, complicité entre eux trois. Après le café, ils se sont installés sur le canapé, Pascal entre les deux femmes, les bras sur leurs épaules.
    
    — Alors, dit Évelyne, ce mois d’août s’est bien passé, vous vous êtes bien entendus ?
    — Ah oui ! Pour cela, Sophie a été exemplaire. Elle m’a invité plusieurs fois et j’ai découvert une maîtresse de maison parfaite, d’ailleurs plus que de raison.
    
    Sophie est stupéfaite, il vient de révéler leurs relations intimes, comment va-t-elle réagir, elle, qui a dû être sa maîtresse ?
    
    — Rappelle-toi, je te l’avais dit avant de partir, Sophie est parfaite, elle te donnera satisfaction dans tous les domaines. Tu vois, je ne m’étais pas trompée.
    — En effet, tu as un jugement infaillible.
    
    Sophie est anéantie, elle ne peut dire un mot. Ainsi, Évelyne l’avait offerte à Pascal, elle savait qu’il la séduirait, l’avait jugée parfaite pour le satisfaire.
    
    — Elle est très intelligente et apprend très vite. Elle comprend à demi-mot ce que l’on désire et s’est empressée de me satisfaire. Et en plus, elle est très belle, ce qui ne gâte rien, au contraire.
    — J’étais sûre que vous étiez faits pour vous entendre.
    — Mais malgré tout, Évelyne, tu gardes une place particulière pour moi.
    
    Elle est sa maîtresse, elle lui offre une fille pour la remplacer pendant son absence, ce n’est pas vrai ! Et ils en parlent devant moi, afin que je comprenne bien la ...
    ... situation ! Je ne suis que la remplaçante ou le complément !
    
    Pascal s’est penché vers Évelyne et l’a longuement embrassée.
    
    — N’oublie pas Sophie, sinon elle va être jalouse, lui dit cette dernière.
    
    Il se tourne vers elle qui reçoit le même traitement.
    
    — Nous serions peut-être plus à l’aise dans ma chambre. Venez tous les deux.
    
    Dès que Pascal entre, Évelyne entreprend de le déshabiller.
    
    — Aide-moi, je m’occupe du haut, prends le bas.
    
    Complètement dépassée, Sophie obéit, déboucle la ceinture de Pascal, descend le pantalon. Il soulève les pieds pour se dégager. Puis c’est au tour du caleçon. Sa compagne a terminé son travail, devant elles, un homme nu, le sexe érigé au maximum.
    
    — Mettez-vous à l’aise, leur dit leur amant.
    
    Évelyne s’approche de son amie et commence à la dénuder. Sophie se laisse faire. Elle comprend qu’il lui faut faire de même pour sa compagne.
    
    Pascal s’allonge sur le lit, les invite à venir chacune d’un côté. En pacha, il attend que l’on s’occupe de lui. Évelyne s’empare de la bouche, sa main descend s’emparer du sexe. Puis elle cède la place et vient absorber ce que sa main tenait.
    
    Les mains de l’homme traînent un peu au hasard, sur les fesses d’une, les seins de l’autre, comme pour apprécier les corps qui s’offrent.
    
    — Mais vous n’avez rien, je ne peux pas m’occuper de vous deux, laissez-moi, ne soyez pas altruistes, faites-vous plaisir.
    
    Il leur a laissé le lit. Évelyne place son amie en travers de la couche, puis vient ...
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