1. Le temps des découvertes


    Datte: 08/05/2020, Catégories: hh, voisins, ascenseur, hsoumis, intermast, facial, fouetfesse, Gay Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... amoureusement.
    
    — Oui, une bonne douche s’impose.
    
    La cabine de douche n’étant pas très grande, c’était un vrai bonheur de se savonner mutuellement. Il nous fallut très peu de temps pour retrouver notre vigueur et caresser nos queues. La sortie de douche fut rapide, et un jet de spray aviva nos sens. Nous étions propres, très excités, et je désirais plus que tout lui appartenir. Je pris l’initiative en lui prenant la main et l’entraînant dans sa chambre ; je lui fis comprendre que je voulais lui appartenir. Je m’arrêtai devant son lit ; il vint se coller à moi. Mon cœur battait la chamade. Je cambrai mes reins afin de coller mes fesses contre son sexe, je tendis de trois-quarts ma tête et lui offris mes lèvres. Il comprit mon désir, et nos langues avides se mélangèrent. Mon amant devait aimer ce baiser car son membre se raidit instantanément pour se plaquer contre ma raie. J’ondulais du bassin, le branlant de mes fesses. Mon amant ondulait au même rythme en me caressant le torse. Ses mains trouvèrent les pointes durcies de mes seins et les pincèrent très fort. J’haletais sous ses caresses ; je l’encourageais encore plus :
    
    — Oui, pince-les fort, mon chéri… Fais-moi mal, fais-les rouler. Continue, pinces-les fort.
    
    Il les pinça si fort que je laissai échapper un cri.
    
    — Oui, mon chéri, je suis à toi.
    
    Bernard me poussa doucement sur le lit, me demandant de tendre mon cul. Je me cambrai au maximum, m’offrant à lui. D’un seul coup, sa main me fessa une première ...
    ... fois. J’ondulai de la croupe, puis une pluie de claques eut pour effet de me mettre le feu au cul.
    
    — Tu as les fesses toutes rouges, petite salope ; elles sont brûlantes ! Tu aimes que je te donne la fessée ? Ça te fait bander, non ?
    
    Pour toute réponse, je me cambrai davantage. Je ressentais chaque claque. Sa main me chauffait le cul. J’étais sa chose ; je prenais cela comme une récompense, à quatre pattes, offerte telle une pute, les jambes écartées. Sa main s’abattait sur mes fesses sans discontinuer ; plus j’en recevais, plus je sentais mon sexe tendu. Sa main tombait alternativement sur la fesse gauche puis sur la fesse droite. Le salaud savait y faire car les coups étaient secs et brefs. De temps à autre, une petite claque moins violente venait frapper ma rondelle. De son autre main, mon amant me prenait la bite qu’il tirait en arrière et me branlait comme s’il tenait le pis d’une vache puis, délaissant mes fesses, il donnait de petites tapes sur mon membre et sur mon gland. J’étais devenu son objet de désir.
    
    Voyant mon état d’excitation, il me souleva en attrapant ma bite par derrière, à me décoller les genoux du lit. Il me soulevait littéralement par la queue.
    
    — Regardez-moi ce petit pédé, comme il aime ça…
    
    Mon amant me souleva par la queue afin de me placer au bord du lit.
    
    — Regarde dans quel état tu m’as mis, mon chéri !
    
    Je tournai la tête pour admirer son sexe dressé devant mon derrière, et j’étais déjà impatient de lui appartenir. Le cul en feu, je ...
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