Le temps des découvertes
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
hh,
voisins,
ascenseur,
hsoumis,
intermast,
facial,
fouetfesse,
Gay
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... ainsi notre première et brève rencontre.
— Quand tu veux, me précisa mon nouvel ami. Quand tu veux ; d’ac’ ?
Et par mon plus beau sourire, en hochant légèrement la tête, j’ajoutai :
— D’ac’ !
C’est ainsi qu’en cette fin de journée je pensais et repensais à ce nouveau copain, plus âgé que moi, très sympa et très à l’aise pour notre premier contact. Je l’imaginais chez lui, jouant avec sa console. Sans m’en rendre compte, je ne pouvais dissiper son visage de ma mémoire. Il faisait à la fois viril, mais il possédait également un côté très sensuel. Les femmes devaient sûrement se retourner sur lui, comme certains garçons le font sur des filles. Je commençais à fantasmer sur mon voisin.
Ce soir-là, je me couchai de bonne heure. N’arrivant pas à trouver le sommeil, des visions de corps d’hommes défilaient dans ma tête ; le visage de Bernard était là tout près de moi, je me sentais très bizarre. J’avais si chaud que je dégageai le drap. Vêtu que de mon boxer, j’avais encore très chaud. Le prétexte suffit à me décider à me mettre complètement nu. Mon membre était si dur qu’il était littéralement plaqué contre mon ventre. Mais je n’avais aucun prétexte pour ne pas caresser ce sexe qui n’attendait que ça.
Connaissant déjà le fonctionnement, je commençai des va-et-vient maladroits ; des images défilaient dans ma tête : j’imaginais Bernard nu, frottant contre moi sa grosse bite d’homme. L’image était parfaite. J’écartai mes fesses de mon autre main, l’invitant dans mon ...
... rêve à me fouiller mon petit trou. Mon doigt effleura mon œillet, et lentement je l’enfonçai entièrement dans mon derrière, imaginant sa tige. De mon autre main, j’accélérai mes caresses. Dans mon ventre, tout bouillonnait. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer. De longs jets giclèrent de mon prépuce ; j’en avais plein le torse. Ma première offrande virtuelle à Bernard.
Ma béatitude était totale, et je m’endormis ce soir-là souillé de ma semence.
Le lendemain et le surlendemain, je guettais de mon balcon ; mais mon ami Bernard semblait avoir disparu. Au bout de quelques jours, en fin de matinée, je décidai d’aller frapper à sa porte avec un jeu vidéo en main, histoire de prétexter ma visite. J’attendis quelques minutes qui me parurent interminables, puis le bruit du loquet que l’on déverrouille. La porte s’ouvrit. Un Bernard à moitié réveillé, juste vêtu d’une petite serviette autour des reins qu’il tenait nonchalamment d’une main.
— Ah, c’est toi ? me dit-il. Viens, entre.
Je me ne fis pas prier et j’ajoutai :
— Je te dérange ? Si tu veux, je repasse.
— Tu rigoles, non ? Tu ne me déranges pas du tout, mais un copain est venu passer la nuit ici et j’ai très peu dormi. Viens.
Joignant le geste à la parole, il me prit par l’épaule et me fit entrer dans son salon en s’écartant légèrement pour me laisser passer. L’entrée de son appartement était si exigue que je dus un instant me coller contre son corps. Cela eut pour effet d’éveiller mes sens, et pas que ...