Le temps des découvertes
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
hh,
voisins,
ascenseur,
hsoumis,
intermast,
facial,
fouetfesse,
Gay
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... … Une faction de seconde, j’ai cru sentir sa queue à travers sa serviette. Je maudissais cette serviette. Une fois la porte refermée, il me poussa vers le salon.
— Vas-y, entre, me dit-il. D’abord, bonjour.
Il me claqua deux bises qui m’émoustillèrent davantage.
— Ça ne te dérange pas que je t’embrasse ? Entre garçons, pas de pudeur ; t’es d’accord ?
J’opinai de la tête et j’ajoutai en le regardant bien droit dans les yeux :
— Non, bien au contraire : cela scellera notre amitié. Et de toute façon, moi aussi je ne suis pas pudique. Et puis j’aime être embrassé.
— Ah-ah ! Monsieur, aurais-tu une petite copine ?
— Non, les filles m’ennuient…
— Mais alors, demanda Bernard, qui aimes-tu embrasser ?
— Ben, là, c’était toi ; et j’ai bien aimé. Les filles, pas trop…
— Alors là, tu m’épates par ta franchise, et cela me touche beaucoup.
— Tu me laisses cinq minutes que je prenne une douche ? Fais comme chez toi. Visite, ne te gêne pas.
Il n’avait pas fini sa phrase que sa serviette vola sur le canapé et qu’il disparut dans la salle de bain, m’offrant l’espace d’un instant la vision de son corps entièrement nu. Je n’ai pu entrevoir son sexe et ses fesses qu’une fraction de seconde, mais quel spectacle ! À peine était-il parti que je glissai dans mon short pour vérifier l’état de ma queue : je bandais déjà fermement, et le seul contact avec ma main accentuait au maximum mon érection. Après un tour d’horizon, je lui criai :
— Ils sont où, tes jeux vidéo, Bernard ...
... ?
Au lieu de me répondre depuis sa douche, il arriva face à moi complètement nu. Sa belle tige ne bandait pas, mais à chaque pas se balançait d’une cuisse à l’autre. J’étais fasciné par cette vision ; je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son entrejambe. J’avais toujours ma main dans mon short à flatter mon sexe.
— Ben, dis donc, c’est moi qui te fais cet effet ?
— Euh … c’est à dire…
— Je t’en prie, ne t’excuse pas : c’est très flatteur pour moi. Viens près de moi.
Bernard était totalement nu. J’avançai de quelques pas vers lui, et délicatement il posa un baiser au coin de mes lèvres. Son bassin se pressait contre le mien, comme une invitation.
— T’as envie de te caresser ? Vas-y, branle-toi pour moi, mon chéri ; je veux te regarder.
Délicatement, il me baissa mon short, libérant mon sexe à l’équerre. Puis il me prit mon autre main qu’il plaça sur sa tige délicatement et me guida :
— Tu sens comme ma queue est brûlante ? Vas-y, branle-nous doucement, petit cœur. Branle nos queues ; continue, décalotte bien nos glands. Regarde comme elles sont belles, nos bites ; tu veux ma crème ? Moi, je veux goûter à la tienne.
Pour toute réponse, je lui tendis ma bouche pour un baiser brûlant. Nos langues se cherchaient pendant que j’astiquais ce magnifique pieu.
— Branle-moi bien. Tu veux me voir gicler sur toi, petit chéri ? Dis-moi que tu veux me boire.
Je n’avais encore jamais goûté la liqueur d’homme, mais une envie irrésistible de le boire m’envahit. ...