1. Paul, le mari candauliste d’Éva


    Datte: 06/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... remercia à nouveau pour son si beau bouquet.
    
    Nous nous installâmes autour de la table basse, assis sur des coussins. Je proposais à Éva de faire le service. Je savais qu’elle s’efforcerait de se baisser pour montrer ses fesses !!! Pierre me fit un clin d’œil ravi.
    
    J’étais toujours en érection. Quel plaisir de la voir aussi sexy ; de la sentir si libre, si légère et si heureuse de charmer son amant.
    
    Éva vint s’asseoir entre nous. J’ouvris le champagne et nous trinquèrent à notre Éva jolie. La tension sexuelle restait palpable. Nous tentions de parler légèrement de tout et de rien. Alors que je me penchais pour attraper un morceau de fromage, j’aperçus la main d’Éva qui s’était égarée sous le peignoir de Pierre pour lui caresser sa queue toujours aussi tendue. Pierre avait un sourire béat. Ma femme prenait un réel plaisir à branler son amant. La robe de ma belle était remontée et ne cachait plus grand-chose.
    
    Je profitais d’un baiser furtif pour lui baisser une bretelle. Pierre fit de même. Les seins d’Éva s’échappèrent de sa robe. Nous nous penchâmes aussitôt pour prendre en bouche ses tétons durcis par l’excitation. Eva se laissa aller en arrière afin de profiter de nos caresses buccales. Nos mains n’étaient pas de reste. Éva ronronnait, gémissait sous nos jeux de mains.
    
    Je prétextais la nécessité d’aller en cuisine pour les laisser tous les deux. En fait, je m’installais dans un fauteuil et, ma queue sortie, je me masturbais en les regardant se donner du ...
    ... plaisir.
    
    Éva prit la queue de Pierre dans sa bouche et lui fit une fellation passionnée dont elle a le secret. Malgré la taille de l’engin, elle l’enfonçait profondément dans sa gorge pour le plus grand plaisir de Pierre. Son regard alternait, de moi à son amant. N’y tenant plus, elle vint s’asseoir sur son pal pour le chevaucher. Elle se laissa descendre lentement. Et lorsque qu’elle put sentir les couilles de Pierre contre ses fesses, elle s’arrêta, se contracta et jouit… Une jouissance sourde, profonde, longue. Son amant la tenait fermement par les fesses afin d’accentuer celle-ci.
    
    Je m’approchais silencieusement des deux amants, et après avoir embrassé et remercié Éva pour le spectacle qu’elle m’avait offert, je lui proposais, d’emmener Pierre dans notre chambre pour s’aimer sans retenue, en toute intimité.
    
    Ainsi, je vis Pierre monter l’escalier en serrant dans ses bras Éva, mon amour, nue, seulement vêtue de ses bas. J’eus un petit pincement au cœur, mais ma bandaison toujours bien réelle me ramena à ma condition de candauliste, choisie et que je me devais d’assumer jusqu’au bout.
    
    Je branchais les caméras placées dans notre chambre et, afin de me calmer, je me mis à ranger notre salon. Une fois le rangement terminé, dans le silence de la pièce, je pouvais entendre les gémissements, les cris et les jouissances successives d’Éva. Pierre avait été un bon choix. C’était un bon queutard qui savait donner du plaisir aux femmes avant le sien.
    
    Je passais dans mon bureau ...
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