1. Paul, le mari candauliste d’Éva


    Datte: 06/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    Paul, le mari candauliste d’Éva (et de Marie pour les récits avec le Matou Libertin)
    
    À rapprocher des histoires déjà parues :
    
    - Mon premier voyage de femme libre,
    
    - Rendez-vous coquin dans la garrigue,
    
    - Ma première fois en club libertin.
    
    Des lecteurs voulaient à tout prix mieux percevoir le ressenti de Paul mon mari. Alors, nous avons décidé d’écrire une histoire où le narrateur serait Paul.
    
    Paul, qui est davantage photographe qu’écrivain, s’est chargé de me donner la matière avec laquelle j’ai écrit son histoire.
    
    Je suis marié avec Éva depuis un peu plus de trente ans. J’ai toujours adoré, adulé ma femme. Son corps, ses courbes, ses fesses, ont été l’objet de mes désirs et de mes fantasmes les plus fous et, étant photographe, Éva a été ma source d’inspiration pendant toutes nos années communes. Ce sont ainsi des centaines de milliers d’images que j’ai enregistrées.
    
    Si les thèmes photographiques étaient très académiques au début, ils ont vite évolué vers l’extérieur. Adepte du flashing et de l’exhibition, je photographiais Éva dénudée dans les rues. Nous jouions à réaliser les images les plus dénudées sans que les gens s’en aperçoivent. Le jeu est risqué, mais aussi excitant.
    
    Certaines fois, des hommes ayant vu notre manège, nous ont suivis pour profiter du spectacle.
    
    Réaliser des photos d’exhibition nécessite des vêtements appropriés : J’achetais à Éva des robes portefeuilles, à boutons ou bien avec un zip. Des robes rapides à ouvrir et à ...
    ... refermer. Nous nous amusions même à faire nous-mêmes des vêtements originaux. Parfois, Éva était nue sous un simple manteau ou un trench.
    
    Je profitais de nos promenades pour défaire un, deux, ou parfois trois boutons. Le vent soulevant, écartant le vêtement avec le risque qu’Éva se retrouve partiellement dénudée.
    
    Les photos généraient bien souvent des jeux érotiques entre nous. Je bandais dur et Éva mouillait d’excitation. Les séances se terminaient parfois par une masturbation, une fellation ou une baise rapide. Tous les lieux publics étaient intéressants et excitants.
    
    Je passe sur certains moments délicats où nous avons failli nous faire prendre, mais cela a toujours été sans conséquence négative. Les souvenirs ont contribué à solidifier notre couple.
    
    J’ai toujours été fier de mon Éva. Fier d’être près d’elle. Pour moi, elle a toujours été la chance de ma vie et je trouvais dommage d’être seul à en profiter d’où les exhibitions et plus classique, la fréquentation des plages naturistes.
    
    Nos jeux ont fini par évoluer. Je lui ai dit que je l’aimais plus que tout et que, ce qui m’importait, c’était de la savoir épanouie. Épanouie dans sa vie de femme, mais aussi et surtout sexuellement. Je lui ai confié que je comprenais ses besoins sexuels et je savais qu’une femme pouvait avoir beaucoup plus de jouissances qu’un seul homme ne pouvait lui donner.
    
    Je précisais que pour son épanouissement, j’étais prêt, par amour, à lui laisser une totale liberté. La seule ...
«1234...»