1. Paul, le mari candauliste d’Éva


    Datte: 06/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... condition, c’est que je ne voulais pas être cocu. Cela signifie pour moi qu’elle ne devait rien me cacher. Qu’elle pouvait avoir des amants, et que je l’encourageais dans ce sens, mais qu’elle devait tout me dire, qu’on devait tout partager. La condition, c’était qu’elle me raconte tout en détail à son retour.
    
    Je lui ai expliqué ce qu'était le candaulisme. Elle a été tentée par l’expérience.
    
    Au début, elle avait beaucoup de réticences car Éva avait peur d’être jugée comme étant une salope qui trompe son mari. Elle avait peur également de mes réactions. C’est facile de se dire candauliste, c’est parfois difficile d’assumer pour l’homme face à des amants très performants et très bien montés.
    
    La première fois
    
    La première fois est toujours difficile. Trouver un partenaire qui n’appartient pas à son cercle de relations et qui plaise à sa femme. Un partenaire séduisant, désirable et qui ne génère pas de problème. Un homme marié est un partenaire intéressant pour commencer.
    
    J’ai trouvé l’homme qui semblait correspondre au profil recherché. Il habitait à Nîmes, près de chez nous. Je l’ai rencontré à plusieurs reprises. Un jour j’ai proposé à Éva de manger au restaurant avec un ami photographe. Les femmes sentent les choses. Elles ont un instinct plus fort que les hommes. Elle a accepté l’invitation. Elle s’est apprêtée un peu plus soigneusement qu’à l’accoutumée. Une petite robe noire avec des empiècements transparents en dentelle, une paire de dim-up et des escarpins. ...
    ... Elle était magnifique.
    
    Elle rajouta une touche de rouge à lèvres avant de sortir de la voiture.
    
    Au restaurant
    
    Mon ami Pierre était déjà arrivé. Il nous attendait. Je présentais Éva. L’ambiance était sympa, le champagne était de rigueur et a un favorisé la désinhibition d’Éva. Le courant passait bien entre eux deux. Pierre était cultivé et Éva parlait beaucoup avec lui. Certainement un moyen d’esquiver l’objet principal, mais j’eus beaucoup de plaisir à ce que notre relation à trois soit aussi fluide.
    
    Nous nous séparâmes à la sortie du restaurant. Pierre serra Éva dans ses bras un peu plus étroitement que la bienséance le conseille, mais je vis ma femme se laisser aller avec un grand sourire.
    
    J’invitais Pierre à nous rejoindre vendredi soir dans notre mas afin d’approfondir les échanges que nous avions eus.
    
    Éva et moi regagnâmes la voiture main dans la main sans un mot, encore plein des émotions de la soirée.
    
    Arrivés chez nous, nous nous embrassâmes passionnément et nous fîmes l’amour tendrement au milieu de nos coussins éparpillés dans notre séjour.
    
    Une fois remis de nos émotions, je proposais à boire à Éva pour parler de notre soirée et de notre nouvel ami. Éva était hésitante. Elle avait des difficultés à parler librement de la soirée. Je sentais que Pierre l’attirait, mais elle ne voulait pas me l’avouer.
    
    Pendant que je parlais de Pierre, je la caressais. Sa vulve était trempée et son clitoris bien dur sous mes caresses. Nous refîmes l’amour et, ...
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