Confluence
Datte: 05/04/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
inconnu,
bain,
forêt,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
entreseins,
préservati,
pénétratio,
initiatiq,
nature,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... et interrompt son envol en l’interpellant à nouveau.
— Et maintenant, voluptueuse amante, comment me veux-tu ?
— Je te veux… triomphant, le sceptre bien en main, imitant le va-et-vient de mes doigts sur toi, approchant progressivement du point de non-retour. Je veux les crispations de tes cuisses juste avant que tu craques, je veux ton regard de fauve quand tu t’enfonces dans ma chatte dégoulinante, je veux les secousses de tes reins éperdus d’envie, je veux t’admirer à la recherche du plaisir ultime, je veux entendre d’ici ton souffle rauque comme lorsque tu me couvres de ton corps, je te veux triomphant de me sentir à ta merci, béante, offerte à ton bon vouloir.
Il n’a pas attendu la fin de la phrase pour commencer à se caresser, après s’être quelque peu redressé pour mieux lui montrer le détail de son corps excité. La main de la femme, glissée fébrilement entre ses cuisses, accompagne à distance celle de l’homme sur sa hampe. Tout son corps s’est enflammé maintenant. Pourtant, malgré la violence de son envie, elle arrive encore à poursuivre sa peinture. À grands traits, elle s’applique à remplir les espaces vides, donnant un superbe relief au corps esquissé. Chaque couleur doit correspondre dans son esprit à une caresse, un délice amoureux partagé avec celui qui tend vainement ses hanches dans sa direction. Impatient d’en finir, il se branle d’ailleurs de plus en plus fort, les sens en pagaille, prêt à se vider.
Dans un dernier sursaut de lucidité, il réalise ...
... pourtant que l’œuvre n’est pas tout à fait terminée. Faisant alors preuve d’une superbe maîtrise, il ralentit la cadence, se redresse pour s’accroupir en équilibre sur ses talons, jambes écartées, et interpelle l’artiste une dernière fois.
— Et maintenant, mon amour, comment me veux-tu ?
— Je te voudrais… jaillissant, inondant mon ventre de ton jus bouillant, le corps arqué, les yeux grands ouverts pour mieux m’offrir ta fragilité d’homme terrassé par le désir que je t’inspire, la peau si sensible que la plus délicate caresse te fasse tressaillir et cracher ta première giclée, les boules meurtries d’être restées trop longtemps si pleines.
Il a fermé les yeux maintenant. Sa main n’a pas cessé de bouger, entretenant une excitation qui altère les beaux traits de son visage. Tombé à genoux, il ne peut empêcher ses hanches de s’agiter d’avant en arrière. La montée de son désir est impressionnante de beauté, tout son corps irradie l’envie qu’il a d’elle. Se sentant maintenant prêt, il veut la regarder encore une fois, admirer ses formes généreuses avant de succomber. Elle s’en aperçoit. Incapable de poursuivre ce jeu plus longtemps, elle enlève sa robe d’un geste vif, et s’offre nue en pleine lumière.
Après avoir jeté son pinceau au loin, elle s’élance vers lui au travers de la rivière. Cessant d’un coup sa masturbation, l’homme enserre fortement la base de sa queue pour retenir la montée de l’orgasme. Il s’allonge ensuite dos au sol, sans lâcher son membre palpitant. ...