1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... peu... Contentez vous d'obéir. D'obéir à tout et à tous Vous êtes désormais des objets. De la chair faite pour le plaisir. C'est notre industrie locale. Zanzibar, comptoir d'esclaves, cela ne vous rappelle rien? Des siècles d'une réputation commerciale sans tache au profit d'une clientèle exigeante : marins de passage, grands commerçants arabes, et aujourd'hui grâce au web, littéralement le monde entier... Généralement on travaille à partir de belles campagnardes pauvres, masaï ou autres, saisies dans l'arrière pays. Mais il y a d'autres possibilités : les jeunes pommés d'Europe qui « font la route » avec un sac sur le dos par exemple. En tous cas, merci à vous d'être venus de si loin pour nous! On vous avait déjà repérés il y a trois ans, mais là, en vous voyant de retour dans le hall de l'hôtel, l'occasion était trop belle. Quoique la première fois, on aurait eu plus de chance d'avoir une vierge à vendre avec la petite... »
    
    Evelyne aurait voulu pouvoir pleurer...
    
    « Vous allez vivre à partir d'aujourd'hui pour donner du plaisir. C'est désormais la seule raison pour que l'on vous garde en vie. Rien d'autre. Et on va vous en faire la démonstration immédiatement... »
    
    Sur un geste de sa main, les deux hommes s'avancèrent dans la pièce révélant chacun un fouet dans leur main droite. CLAC! Un premier coup zébra le dos de Charlene qui se roula par terre en hurlant.
    
    CLAC, CLAC, CLAC... L'un après l'autre, Evelyne, John, Charlene à nouveau, furent la cible de nouveaux ...
    ... coups.
    
    CLAC, CLAC, CLAC, CLAC... Les fouets s'abattaient sur les trois captifs dont les bras liés faisaient des cibles sans défense ni protection. Hurlements, convulsions,...
    
    CLAC, CLAC,...
    
    « Arrêtez! Arrêtez! Je ferai tout ce que vous voulez! Tout! Arrêtez par pitié! » Hurla Evelyne en larmes en se jetant aux pieds de la femme. « Arrêtez cela je vous en prie! Je ferai tout! Tout! Absolument tout!».
    
    D'une main levée, Fatou interrompit les hommes. Un sale sourire aux lèvres, elle commença à soulever sa longue robe sombre, découvrant ses jambes, puis ses cuisses et enfin la fente de son sexe noyée dans une épaisse toison noire.
    
    « Lèche-moi! Suce-moi esclave d'occident! Fais moi jouir! Prouve moi que tu veux profondément te rendre utile! »
    
    Apres un court regard en arrière vers ses deux enfants, Evelyne accepta de se sacrifier. Elle avança lentement la tête vers l'entrejambe de la geôlière, ouvrit la bouche et tendit la langue vers la fente humide.
    
    Jamais elle n'avait encore prodigué cette caresse à aucune une autre femme. Bien sur elle n'ignorait pas le plaisir entre femmes : au salon d'esthétique parisien qu'elle fréquentait, avec la Edith une femme de son âge, qui s'occupait habituellement d'elle, elle avait fini par partager à chaque séance baisers et caresses dans l'intimité de la loge des soins. Et les dernières fois, bien au-delà d'un simple flirt, elle avait laissé la main d'Edith descendre vers son entrejambe pour lui caresser les grandes lèvres, puis ...
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