1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... située au milieu de la pièce. Une fois assise, à sa grande frayeur, plusieurs des présents se saisirent d'elle et l'immobilisèrent fermement. Une jeune femme approcha alors une fine pince de son visage. Elle tenta de se dérober, mais tenue fermement au torse, à la tête et par les bras, elle ne put bouger d'un pouce. Une douleur fulgurante la traversa quand, d'un geste sec et précis, on lui perça la paroi du nez. Trois minutes plus tard elle repartait vers sa cellule, un anneau d'or décorant - ou défigurant c'est selon - son visage. Sur le retour, elle croisa sa fille que l'on poussait vers même supplice. Evelyne baissa les yeux en gardant le silence...
    
    John lui aussi fut muni d'un anneau nasal le même jour. On lui installa en plus autour du pénis une sorte de cage fermée par une clef : s'il pouvait toujours uriner librement, toute érection lui devenait physiquement interdite. Il était la plus part du temps gardé seul, à part de sa mère et de sa sœur. Deux ou trois fois par semaine, les trois étaient réunis pour quelques heures, souvent le temps d'un repas, avant que le jeune homme ne soit reconduit vers sa solitude. Aucun mal ne lui était fait : parfois on l'utilisait pour des travaux de force sur le domaine, mais la plupart du temps il restait enfermé seul, comme en réserve... Evelyne comprit bien vite qu'il s'agissait d'une forme de chantage : on vous réunit de temps en temps pour vous prouver que tout va bien, tout en vous maintenant constamment à l'esprit qu'il ...
    ... pourrait facilement en être tout autrement...
    
    Les deux femmes de leur coté étaient enfermées dans une sorte de studio dotée d'une douche et du nécessaire pour se maquiller, ainsi que de quelques bijoux de pacotille. Les seuls vêtements mis à leur disposition étaient des chaussures de soirée à talon. Rien d'autre, pas même des strings. La pièce ne comportait pour tout meuble qu'un large matelas, propre et assorti de quelques couvertures. Elles étaient nourries deux fois par jour et, pour le reste du temps, elles s'ennuyaient, réduites à devoir attendre pour savoir si elles seraient violées ou non le soir suivant, en fonction de la fantaisie de leur propriétaire. Ces sorties nocturnes étaient leur uniques « distractions » et elles en venaient même parfois à, d'une certaine manière, les souhaiter...
    
    Deux jours plus tard. Evelyne et sa fille furent appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d'être souillée pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard de sa mère.
    
    Une routine s'installa. Les deux femmes servaient leur propriétaire quasi-quotidiennement. Esclaves sexuelles dociles, elles se donnaient à lui et à ses vices sans qu'il ait à utiliser sur elles (ou sur leur fils et frère) la violence ou même seulement la menace de celle-ci. Evelyne restait en alerte espérant qu'un jour, quelqu'un ou quelque chose, lui permettrait de s'arracher et d'arracher ses enfants à leur esclavage. Pour cela il était primordial de ...
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