1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... lui fit comprendre de cesser d'une poussée de la main sur son front et il lui dit :
    
    « You would prefer a fuck, wouldn't you? » [Tu préfères baiser, n'est ce pas?]
    
    « Y... Yes, Master. Of course. » Se força à répondre Evelyne, essayant de deviner les désirs de son propriétaire.
    
    « Then ride me and make it good! » [Alors chevauche-moi et fait en sorte que ce soit bon!]
    
    Elle avait compris. Elle se redressa, l'enjamba en plaçant ses pieds aux cotés des hanches de son maître. S'accroupissant, elle saisit le membre rigide entre ses doigts délicatement manucurés et en guida le nœud rougi vers l'entrée entrouverte de sa caverne intime.
    
    D'un très lent mouvement continu vers le bas, elle s'empala alors sur lui jusqu'à venir sentir le contact de ses testicules contre la peau de ses fesses. On y était! Pour la première fois - il y en aurait des centaines d'autres elle le savait - elle était la femelle prise par cet homme dont elle était devenu le jouet vivant. En tremblant, elle commença à monter et descendre par le jeu de ses cuisses, lentement pour maximiser son plaisir à lui, pour le faire durer, pour être inoubliable pour lui, pour se rendre nécessaire, indispensable même si cela était possible. Ses seins lourds se balançaient sur son buste en un fascinant ballet. Le maître en saisit et en étira les extrémités entre ses doigts crochus, la contraignant à se torturer elle-même à chaque empalement. Animal obéissant, elle était tenue de soutenir le regard de celui qu'elle ...
    ... voyait peu à peu sous elle monter vers le plaisir, chaque marche qu'il franchissait vers l'orgasme étant une marche de plus qu'elle descendait dans l'abjection... Enfin le regard du maître se troubla et il arqua brutalement son corps vers le haut s'enfonçant encore plus profondément en elle si c'était possible. Elle ressentit une nette sensation de chaleur au fond d'elle-même, preuve des brûlants jets de sperme que l'homme déversait au fond de sa féminité profanée.
    
    Elle resta emmanchée sur lui le temps qu'il ait fini de s'épancher en elle, lui laissant vivre son plaisir jusqu'au bout.
    
    « Kiss me! Say me thank you, slave! »
    
    « Thank you Master. Thank you. » Dit doucement Evelyne en soutenant difficilement son regard.
    
    Elle se pencha vers les lèvres de son maître, y posa les siennes et laissa leurs deux langues se joindre dans un baiser profond qu'elle prit grand soin de lui laisser l'initiative d'interrompre.
    
    Elle dut encore le nettoyer, toujours avec sa bouche, avant qu'il ne l'autorise à partir. Evelyne quitta le cœur lourd la chambre luxueuse pour aller retrouver ses enfants. En marchant, elle pouvait sentir le sperme chaud qui s'écoulait doucement hors d'elle le long de l'intérieur de ses cuisses. Ce soir, pour la première fois, elle avait fait son devoir, tout son devoir. Un devoir d'esclave.
    
    Le lendemain matin, Evelyne fut menée seule vers une pièce où plusieurs serviteurs, hommes comme femmes, l'attendaient. On lui fit comprendre de s'asseoir sur une chaise ...
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