Quelques jours en Ophélie
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
inconnu,
bain,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
hdanus,
hsodo,
portrait,
coupfoudr,
Auteur: Ophelie Martins, Source: Revebebe
... où passaient des films pornos qui mettaient en scène des homos. Je revins sur mes pas, demandai au réceptionniste où se trouvaient les vestiaires, il me l’expliqua encore une fois en sortant de sa cabine et me montrant du doigt. J’y arrivai enfin, trouvai mon vestiaire et me déshabillai, ne gardant sur moi que mon soutien-gorge et ma petite culotte en dentelle. Mes sous-vêtements étant blancs, dans la lumière noire cela donnait un effet super, j’étais très excitée. J’arrangeai mes affaires dans la penderie quand un homme, grand, la cinquantaine, costume et cravate, entra dans la pièce et commença à se déshabiller après avoir ouvert sa penderie. Je sortis. J’empruntai de nouveau le dédale de corridors pour essayer de trouver le bar car ma soif ne faisait qu’empirer. Après avoir tourné deux fois en rond, je tombai nez à nez avec un autre homme complètement nu, lui, je lui demandai où cela se passait, où pourrais-je trouver à boire. Il commença par passer sa main sur mes fesses et tout en me caressant me dit :
— Tu dois t’être trompée d’endroit, ici il n’y a rien à boire, à part…
«Zut ! me dis-je, je ne vais pas pouvoir rester là ! » Inconsciemment ma main avait été aussi caresser l’homme qui me sourit. Je trouvais ça agréable, il avait le corps recouvert d’un léger duvet doux au toucher et j’aurais bien aimé le caresser davantage.
— Tu veux qu’on aille dans une pièce discrète ? me dit-il.
— Je suis désolée, mais j’ai terriblement soif, il faut absolument que je ...
... boive, ça me fait mal à la gorge.
— Dommage ! Salut !
Je continuai donc mon cheminement à l’envers cette fois et tombai dans une salle que je n’avais pas vue en venant. Là, se trouvaient au moins cinq hommes, deux se branlaient et regardaient les trois autres dont un se faisait prendre par-derrière tandis qu’il faisait une gâterie au troisième. Je regardai la scène un court moment, car au lieu de me mettre l’eau à la bouche celle-ci me l’asséchait davantage. Je retrouvai enfin le vestiaire et me rhabillai. Je sortis de cet établissement pour me diriger en face, un bar-restaurant-cabaret. Il n’y avait personne. Je m’assis au bar et commandai un Coca, que je bus d’une traite sitôt reçu.
Ma soif apaisée, je lus sur une ardoise, suspendue à un des murs du bar, que les restaurant et dance-floor se situaient au sous-sol. Les toilettes aussi, je décidai d’aller voir et de faire un arrêt-pipi, histoire de me remaquiller et d’arranger ma tenue. Là non plus, personne, les toilettes étaient spacieuses et propres, je me donnai un coup de peigne et mis un peu de noir à mes yeux, ainsi qu’une légère touche de rouge à lèvres. En sortant, j’allai demander si je pouvais manger quelque chose.
— Non, me répondit-on, la cuisine est fermée, mais vous pouvez aller en face, un peu plus haut, chez « Ma mère m’a dit ».
Je remontai donc l’escalier et sortis de ce bar pour traverser la rue et me diriger vers ce restaurant.
Les rares passants ne faisaient pas attention à moi. Je m’arrêtai ...