1. Quelques jours en Ophélie


    Datte: 04/05/2020, Catégories: fh, ff, inconnu, bain, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels hdanus, hsodo, portrait, coupfoudr, Auteur: Ophelie Martins, Source: Revebebe

    ... je ne parlais pas bien l’allemand, elle sourit et me répondit dans un français au fort accent germanique qu’elle avait fait une année comme jeune fille au pair en Romandie et que ça lui faisait plaisir de parler en français. Nous parlâmes tout d’abord de la pluie et surtout du beau temps que nous avions en ce moment et sans transition elle me demanda :
    
    — Vous vous habillez souvent en femme ?
    — Non, très rarement, je n’en ai pas l’occasion, je suis marié et ma femme n’apprécie pas ça. Mais en ce moment j’en profite parce qu’elle est en vacances à l’étranger.
    — Et vous faites quoi ici ?
    — Je suis venue au village d’à-côté pour me faire maquiller, et ici pour faire les boutiques, voir si je trouve des sandales à hauts talons.
    — Vous savez marcher avec des souliers avec des hauts talons ? demanda-t-elle l’air étonné. Moi, j’ai de la peine, je n’aime pas trop les hauts talons. J’en mets seulement pour des soirées tranquilles par pour aller danser.
    — Justement, moi ce soir, j’ai rendez-vous avec des amis travestis dans un restaurant, et j’aurais aimé avoir des sandales à talons hauts mais je ne trouve pas ma pointure ou alors elles sont trop chères.
    — Ah ! oui, c’est vrai, vous devez avoir des problèmes pour trouver.
    
    Elle réfléchit un moment et me dit :
    
    — Je connais un magasin où ils auront peut-être ce que vous cherchez. Je peux vous montrer.
    — Si vous avez le temps ? Ça me ferait plaisir. Je m’appelle Ophélie.
    — Oui, j’ai le temps, je suis en vacances, mon ...
    ... dernier jour. Moi, c’est Verena.
    
    J’appelai la sommelière et réglai les consommations. Ma voisine protesta pour la forme, mais je lui dis que c’était un acompte pour le dérangement. Elle sourit et accepta.
    
    Elle m’entraîna à sa suite, dans les rues adjacentes mais toujours dans la zone piétonne. Et après un bon quart d’heure et nous être arrêtées maintes fois devant une vitrine pour commenter un vêtement ou un bijou, elle entra dans un magasin de chaussures assez grand et aux larges vitrines. Verena se dirigea vers l’ascenseur, en me disant que pour les femmes c’était au premier étage.
    
    Il y avait du monde à cet étage, au contraire du rez-de-chaussée presque désert. Nous nous déplacions entre les étals, je remarquais que c’était encore les soldes car de grands panneaux de différentes couleurs flashy indiquaient 50 %, 40 %, 30 %. Une sandale attira mon regard, un talon en métal chromé de 10 bons centimètres, une large bande blanche fermait le talon qui se séparait par une fermeture éclair, une bride blanche sur la cheville et deux autres noires se croisant sur le cou-de-pied. J’examinai les pointures, il y avait un 42 tout en bas de la pile, je tirai la boîte et la posai sur le dessus, l’ouvris et en sortis une chaussure. Je regardai le dessous, c’était bien un 42, celle-ci avait une étiquette rouge qui indiquait 50 % de rabais. Ce qui la laissait à soixante francs. J’allai m’asseoir sur une banquette près de là et ôtai ma chaussure du pied gauche. Je dus à nouveau me ...
«12...101112...36»