1. Du côté des prisonniers


    Datte: 04/05/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, fplusag, extracon, enceinte, humilié(e), Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... quelque chose qu’elle avait oublié, s’est fait coincer, ficeler et badigeonner l’entrejambe d’un mélange d’épices et d’alcool. Elle resta ainsi plus d’un quart d’heure avant d’être délivrée par ses consœurs inquiètent de son absence prolongée. Elle eut l’impression que le feu la dévorait et malgré moult trempettes, l’endroit resta sensible pendant quasi trois semaines. Catherine aussi se fit piéger, ligoter et bâillonner. Une fois à leur merci ses bourreaux s’ingénièrent à introduire les objets les plus hétéroclites dans son vagin et même dans son anus. L’inventaire en était surprenant, comprenant, carotte, brosse, flacon, manche de balai et de pioche, rouleau à pâtisserie, sans compter leurs doigts. Heureusement Catherine ne fut pas blessée durant l’opération. Elles la libérèrent un navet dans le cul et une pomme au fond de la chatte. Si elle réussit à se débarrasser assez aisément du premier, la seconde lui donna du fil à retordre. Elle mit presque vingt minutes à l’extraire par petit bout en la déchiquetant avec les ongles. Louise de Vaudémont et Antoinette-Marie Berclot eurent la chance d’échapper à d’aussi rudes brimades.
    
    Par contre Louis est relativement épargné. Il n’est jamais violent, se contentant de fuir lorsqu’il se trouve dans une situation difficile, mais pour cela il fonce et avec sa force les conséquences peuvent être aussi inattendues que surprenantes. Ces demoiselles sont devenues plutôt circonspectes depuis que l’une s’est retrouvée assise dans un ...
    ... massif de rosiers, une autre le derrière dans un seau, la même à plat ventre dans la boue et la troisième couverte d’encre. Probablement pour contenter leur côté voyeur, la seule chose qu’elles continuent à faire, c’est d’envoyer deux bonnes l’aguicher. Pour dire vrai, elles n’ont pas vraiment besoin de pousser ces dernières. Contraintes à l’abstinence depuis qu’elles ont accompagné leurs maîtresses dans cette institution, où il n’y a point de représentant de la gent masculine, elles ne sont pas mécontentes de se faire foutre, même sous l’œil à la fois intéressé et goguenard de leurs maîtresses. Elles trouvent que si du côté de l’esprit il est un peu lent, du côté de la baise, il a un don certain.
    
    Au couvent, à mesure de leur aménagement, des pièces sont attribuées aux familles, ce qui désengorge les dortoirs. Bien qu’il soit seul, Maître Lescot en a obtenu une. En effet le gouverneur de la ville se décida à charger les prisonniers de leur propre intendance et gestion. C’est Mathieu qui a été choisi pour cette tâche. Cette vaste pièce lui sert de bureau, il y travaille, rencontre fournisseurs et clients tanibrinques, y range ses livres de comptes et y conserve quelques monnaies. Elle lui sert aussi de chambre.
    
    Comme Jacqueline le secondait dans ses tâches, afin qu’elle puisse travailler avec lui le soir sans avoir à ressortir dans la froidure de la nuit, il fait ménager un second couchage. Celui-ci est établi à l’autre bout de la pièce avec un paravent. Les apparences sont ...
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