Du côté des prisonniers
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
enceinte,
humilié(e),
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
«Origines : attaque et prisonniers »
«La vie reprend : il faut s’adapter »
«La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses »
«La vie reprend : espoir de promotion »
«La vie reprend : Ennemis jusqu’où ? »
«Espoir de promotion - Croisée des chemins - À la cour du Roi »
« La déception pousse vers des voies étroites »
À la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre, des prisonniers – hommes, femmes, enfants – sont emmenés en captivité. Ils ont été séparés en plusieurs groupes. Les militaires sont retenus sur un ponton, sauf leur commandant qui est assigné dans une caserne. Six jeunes filles ont été discrètement vendues à une maison close. Une d’entre elles parvient à s’évader. Quatre autres, d’un certain statut social, ont été conduites dans une institution d’éducation pour jeunes nobles tanibrinques, où la directrice, faute d’instructions précises, choisit de s’en servir comme domestiques. Les deux cent cinquante autres sont emprisonnés dans un ancien couvent où ils doivent travailler… La vie de ces exilés s’organise.Le vice-amiral vicomte Charles de Sombreuil fait partie du Conseil du Roi. Il est l’amant de la marquise Anaïs de Pierrenoire. Sur instruction il lui distille des renseignements sur ce que s’y décide, la belle marquise les revendant à un agent tanibrinque. Cette « mission » le tient éloigné de celle après qui il ...
... soupire.
____________________________________________
Henri de La Tiémont poursuit ses échanges de messages avec les agents de son pays. De même il visite régulièrement ses hommes sur le ponton et les prisonniers de l’abbaye. Une fois même il est autorisé à pousser jusqu’à l’endroit où sont retenues Catherine de Révilly et ses compagnes. Il découvre que la vie dans ce pensionnat pour jeune fille de la haute société tanibrinque n’est pas idyllique. Il parle même avec Louis, le simple d’esprit. Catherine est d’ailleurs surprise en voyant de loin la conversation durer. Louis semble plus disert avec un interlocuteur masculin qu’avec elle. M. de La Tiémont essaie bien d’intervenir auprès de la directrice, pour améliorer la situation de ses compatriotes victimes de brimades, mais celle-ci pratique la politique : tant que la bonne marche de l’établissement n’est pas perturbée, il n’y a pas lieu d’intervenir. Si Elizabeth, Ann et Victoria continuent à s’ingénier à persécuter les canfraises, elles le font de manière plus discrète. Aussi la directrice ne voit-elle pas de raison de s’occuper de ces détails.
À peine a-t-il repris le chemin de la ville que le discours est oublié et les choses se poursuivent comme devant. Pour se protéger, les victimes évitent de se déplacer seules et de rester isolées. Cette méthode donne de bons résultats, mais de temps à autre, elles se laissent surprendre. Deux fois surtout furent particulièrement cruelles. Une nommée Marie-Thérèse de Reuilly, qui avait quitté le groupe pour retourner chercher ...