1. La belle saison 7/8


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... «
    
    « Ce serait donc mon jour ? » dis-je en descendant mes mains sur ses fesses
    
    « Va savoir »murmure t’elle avant de m’embrasser fougueusement.
    
    Isolés au milieu des couples qui flirtent sous la lumière noire, nous continuons à danser sur place, nos langues se mélant , nos mains s’aventurant à la découverte de nos corps.
    
    Le quart d’heure américain prend fin et les danseurs se séparent pour entamer une série de jerks endiablés. Nous conformant aux rêgles, nous faisons de même.
    
    Nous faisons une nouvelle pause au bar. La foule a encore grandi, et il n’y a plus la moindre place libre. Nous sirotons, deux nouveaux cocktails, debout dans un coin. Elle est venue s’appuyer sur moi.
    
    « Je suis un peu pompette. » m’avoue t’elle « On va rentrer ? »
    
    Nous finissons nos verres et nous dirigeons vers la sortie.
    
    Dehors, nous profitons de la fraicheur relative, et déambulons à pas lents dans les rues quasi désertes. Je profite d’une ruelle sombre pour attirer Jackie contre moi, et l’embrasser goulument tout en la pelotant. Elle se laisse faire un instant, puis s’échappe en riant.
    
    En deux ou trois étapes nous retrouvons son fourgon. Elle a manifestement trop bu et me demande de prendre le volant. Je m’exécute et prends le chemin du retour, mais je me rends vite compte que la fatigue et l’alcool ont eu raison de moi. J’avise un chemin de terre et y engage le véhicule avant de stopper
    
    « Je crois que je ne peux pas aller plus loin »dis-je
    
    « Pas grave, on va ...
    ... s’allonger quelques heures à l’arrière »
    
    Je sors de la voiture et la rejoins de son côté. Elle a déjà ouvert la porte latérale.
    
    « C’est mieux de se désaper dehors. A l’intérieur c’est moins pratique. » dit elle.
    
    Et sans hésiter elle fait passer sa robe par dessus sa tête, et dans le clair obscur, se retrouve en soutien gorge et chaussures. Elle se rend alors compte qu’elle n’a pas remis sa culotte.
    
    « Oups, j’avais oublié ça » dit elle « n’essaie pas d’en profiter. Je ne suis pas une pute, quand même. »
    
    Là dessus elle s’asseoit au bord du camion et ote ses chaussures avant de se faufiler à l’intérieur. Suivant son exemple je me deshabille et jette mes affaires dans un coin à l’intérieur avant de la rejoindre. Il fait très noir mais les vitres arrières distillent une faible lueur qui me permet de découvrir qu’elle s’est glissée sous les draps. A mon tour, je la rejoins, et me rapproche d’elle. Elle a gardé son soutien-gorge, seul rempart à sa pudeur relative. Mes mains partent a l’exploration de son corps, et elle vient m’embrasser encore une fois avant de me repousser.
    
    « je te l’ai dit, je ne couche pas si facilement. »
    
    « Pourtant, j’avais cru comprendre. »
    
    « Tu me plais bien, c’est vrai. Alors je vais faire quelque chose pour toi »
    
    Elle descend le long de mon corps et je sens ses mains agripper mon slip qui descend le long de mes jambes jusqu’à ce qu’elle l’enlève carrément.
    
    Une main douce s’est emparée de mon sexe et le caresse doucement.
    
    L’autre main ...