1. La belle saison 7/8


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    La jolie Dolores, cliente affamée de sexe, a retrouvé son mari. Je l’ai croisée à son bras.
    
    Un grand type costaud, d’une cinquantaine d’années qui la serre de près. Quand je les ai croisés, elle s’est serrée contre lui, mais en passant, m’a fait un clin d’œil de connivence.
    
    A l’accueil, je retrouve Marie-Pierre et Jackie.
    
    « J’ai l’impression qu’il va te falloir trouver une nouvelle partenaire de tennis » me lance Jackie.
    
    « Ah, si ça t’intéresse, j’ai une ancienne joueuse classée qui cherche un partenaire de jeu »
    
    m’indique Marie-Pierre qui a levé la tête
    
    « Il faut qu’elle soit vraiment très en forme » précise Jackie « C’est que c’est très exigent physiquement. » ajoute t’elle avec une pointe d’ironie à mon intention.
    
    « Hé,là, je vous arrête ! Je suis déjà pas mal crevé avec le boulot, et je joue avec Chris. Donc désolé, mais je ne peux pas m’occuper de vos clientes qui s’ennuient. Je l’ai fait, exceptionnellement pour la cliente de la 308. »
    
    « Et qui a gagné ? » demande Marie-Pierre, sans humour
    
    « Oh, je suis sur qu’il l’a défoncée. » commente Jackie sans me lâcher du regard.
    
    Marie-Pierre, ignorant le double sens de cette répartie me regarde.
    
    « Vraiment ? »
    
    « Oui, enfin, j’avais l’avantage de l’âge. Bon je vous laisse. Jackie, on se voit au déjeuner ? »
    
    A l’heure du déjeuner, je décide Jackie à sortir le soir même avec moi. Après une sieste réparatrice, et une soirée de travail sans surprise, Je la retrouve à la terrasse d’un café, et ...
    ... nous voilà parti pour la côte dans son véhicule, un utilitaire transformé en Van, dont je découvre l’existence, car j’ai toujours vu Jackie avec une petite citadine.
    
    « C’est mon frère garagiste qui m’a aménagé ce fourgon. Je m’en sers pour partir en vacances, et de temps en temps quand je sors sur la côte. Si je suis trop fatiguée, je m’arrète et je dors à l’arrière. » explique Jackie
    
    L’arrière du véhicule tolé, est aménagé, parois habillées de tissu et tout l’arrière est transformé en un immense lit, avec dans un recoin, un petit placard à vêtements, et un recoin pour ranger les chaussures. Nous garons le fourgon (à l’extérieur, on croirait vraiment un utilitaire) et rejoignons le port de Collioure, où se presse une foule importante qui attend le feu d’artifice. Nous sommes vites enfermés dans une foule compacte, et pressés l’un contre l’autre. Quand le feu d’artifice commence, Jackie se tourne et s’appuie contre moi. Je pose mes mains sur ses hanches sans qu’elle s’en formalise. La tête levée vers le ciel nous admirons les gerbes d’étoiles qui illuminent la nuit, sur un thème musical qui met en valeur la grandiloquence du spectacle. Mes mains se sont avancées et entourent sa taille. Je profite de ma position pour lui appliquer de petits baisers dans le cou, auxquels elle répond en poussant son corps en arrière contre le mien. Une de mes mains à plat caresse son ventre en cercles concentriques qui descendent progressivement sur son pubis, au travers de sa robe de coton. ...
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