1. La bourgeoise et putain


    Datte: 01/05/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... réaliser cela en s'entremettant. Bref je devais accepter et m'en remettre à lui. Il en ferait le rapport ce soir à mon mari. Il s'engageait par ailleurs de faire rendre gorge au gosse. Ils avaient en effet des moyens contre lui. Un piège semblait se refermer sur tous deux.
    
    L'oncle se leva et vint tirer les rideaux afin qu'il fit plus sombre dans la pièce. Il passa derrière moi. Je l’entendis fermer à clef la porte. Je n'eus pas le temps d'être surprise car sa main déjà me caressait le cheveu. Ses propos devinrent explicites : « Je veux que tu t'en remettes à moi entière. Tu m'as toujours plus. « Il écrasa un baiser mouillé sur mon cou. J'eus un frémissement d'horreur. Il ne me plaisait guère ce gros homme adipeux et dont j’avais toujours entendu qu'il n'aimait que les jeunes et jolies filles. Ainsi tombais-je des nues.
    
    En fait ce n'était pas tant son physique qui me révulsait (mon garagiste aussi était un porc) que le fait que cet homme se targuât de sa dignité familiale et avait commencé la conversation sur un ton paternel. Je trouvais cela scandaleux et ignominieux. Il était pire que le neveu qu'il avait dénigré. J'en étais à cette colère et à cette confusion lorsque je vis soudain son sexe extirpé et proche de ma bouche. Le porc m'intimait de sucer. Atteint de vice j’avais appris à ne point résister à cela. Aussi machinalement vins-je à pomper cette queue grosse et molle.
    
    Les mots insanes vinrent rapidement. Notamment celui de putain. Le vicieux était pris de ...
    ... fureur. Me tirant par le cheveu il m'insultait : « Quitte à faire ta putain, ce sera avec moi désormais. Ton mari compte sur moi. Nous n'allons pas le décevoir hein ma salope ? » A mesure des insultes j'étais gagnée bientôt par cet échauffement si caractéristique. Je mouillais comme une folle. J'aspirais à ce qu'un mâle me prit. Il m'avait déjà levé et appuyé contre un mur. Il avait écarté le fil du string et employé sa bouche à me dévorer le cul.
    
    Il éructait : « J'ai toujours rêvé de dévorer ton gros cul.» Il malaxait mes fesses que j’avais lourdes et belles et que nombre d'hommes avaient souvent caressé et tripoté. J'excitais souvent par là. Tant avec mes hanches et qu'en roulant du cul je savais tous les attirer. L'oncle ici pouvait au concret s'en repaître. Sa langue les parcourait. Mon trou de cul fut fouillé et par conséquence il y glissa la queue entière. Le salaud m'enculait sans autre forme de procès. Sa bite s'enfonçait sans peine. Le chemin avait été approfondi par tant d'autres. Je soutenais en chienne stoïque.
    
    Il m'encula ainsi dans l'obscurité et le silence durant un quart d'heure en malaxant avec ses mains mes seins. J'étais comblée. J’aimais à être foutue ainsi comme une catin. Il extirpa sa bite pour m'éjaculer sur le visage. Il m'entraîna sur un divan peu loin. Nous y fîmes d'autres caresses. Il m'embrassa goulûment plusieurs fois. Peu après ranimé il me prit la chatte installé entre mes cuisses. Nous baisâmes encore une heure. Il me dit sentencieux qu'il ...