1. La bourgeoise et putain


    Datte: 01/05/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    J'ai frôlé la catastrophe. Nous sortions mon amant et moi de l'hôtel. Celui-ci intrépide et prudent me volait sur le trottoir un ultime baiser. Je perçus de suite que nous étions observés. En effet de l'autre côté à l'intérieur d'une auto il y avait un homme que je reconnus sur le champ être un oncle du mari. Il m'avait manifestement identifié. J'étais prise la main dans le sac : en flagrant délit d'adultère. Mon amant ne vit rien. Je me gardais de l'alerter d'autant qu'il était compromis étant mon neveu. Tout cela demeurait en famille. J’appréhendais le pire.
    
    Je n'y couperais pas pensais-je. L'épreuve vint rapidement. Lors d'une fête familiale j'eus en face de moi l'oncle. Je tâchais de fuir son regard et son sourire énigmatique. N'y tenant plus je m’écartais un moment de la soirée en un coin tranquille où lui pouvait notamment m’aborder. Il sauta sur l'opportunité. Il prit la parole allant droit au but. Ses yeux brillaient. « T'inquiète pas. Je tiendrais ma langue. Cependant il faut discuter de cette chose grave. Passe demain au bureau. » Avocat, son cabinet était peu loin de chez moi.
    
    J'étais perplexe quant à ses propos. Que voulait-il ? Où voulait-il en venir ? Je concevais à présent les conséquences de ma dérive récente. Je n'aurais jamais du céder aux avances d'un jeune homme libertin qui plus est mon neveu. Ce coquin à seize ans déjà, me lorgnait. Il est vrai je m'amusais des fois à bronzer seins nus sur la pelouse de ses parents. J'avais moqué souvent ses ...
    ... avances. Je l’avais renvoyé à ses petites amies. Peu de temps à près il me surprit dans un bistrot avec un amant. Son vœu fut clair. Nous devions coucher.
    
    J'affectais la colère lui représentant qu'il avait vingt ans et moi plus de quarante et que je pouvais être sa mère. Il me rétorqua qu'il avait baisé avec des femmes plus âgées et qu'il avait une prédilection pour celles d'expérience. Il ajouta crânement que je n'aurais pas à regretter ses performances au lit. Je fus soufflé de son audace. Le harcèlement dura des jours. Puis il précisa sa menace. Il recourrait à l'égard de mon mari à des lettres anonymes. Je vis que tout cela était sérieux. Allais-je tout compromettre pour un con ? Il menaçait mon intégrité et mes désirs.
    
    Comme pour me débarrasser je concédais un premier rendez-vous. Ce fut au cinéma. Dans la salle obscure, je lui fis grâce de maintes caresses. Cependant bientôt nous fûmes à nous embrasser. Le coquin parvint à m'échauffer. Je le laissais glisser sa main dans ma culotte. Il la perçut mouillée. A la fin je ne pus que le sucer dans la pénombre. Sa queue était longue et épaisse. Il ne m'avait pas menti. Sur le chemin du retour il put dans la voiture sauter sa tante. J’avais jusqu'alors dédaigné les propositions de ce genre de morveux. Ce fut comme une révélation.
    
    Si jeune il était déjà dépravé. Je ne savais où il avait appris ce vice. Il me dit que certaines femmes et bourgeoises étaient pires que des prostituées. Me compatit-il au nombre ? Quoiqu'il en soit ...
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