1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1094)


    Datte: 30/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... des pantoufles de la même sorte. Pas du tout gêné par ma nudité, il restait là me regarder et je trouvais que l’insistance de son regard vicieux était gênante.
    
    - Pas besoin de te cacher, je sais comment est faite une femelle…
    
    Ses termes pour me désigner me choquèrent mais je prenais quand même la robe de chambre, pas très rassurée sur le bougre, subitement, tandis qu’il m’aidait à l’enfiler, il en tint les deux pans ouverts, me regardant, me détaillant comme si j’étais une bête de foire exposée. Je fermais d’autorité les deux pans de la robe de chambre, mais il restait là, planté devant moi comme si sa présence était somme toute naturelle. Il se retourna comme s’il allait enfin sortir, mais virevolta sur lui-même et m’asséna une gifle à faire chuter un taureau. A moitié assommée, et au sol :
    
    - Relèves-toi ! ordonnait-il (Je me relevais terminant de fermer la robe de chambre) - Laisse tomber, je t’ai dit que je savais comment était faite une femelle
    
    Et il m’enlevait la robe de chambre, me poussait hors de la chambre, vers l’escalier, disant :
    
    - Viens devant la cheminée, il ne fait pas chaud ce soir !
    
    - Comme je n’avançais pas assez vite à son goût, il me prit par les cheveux et me poussais…
    
    - Mais enfin, Monsieur, criais-je…
    
    Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase qu’une vigoureuse tape sur les fesses me fit comprendre que je devais me taire et obéir. Je vins me placer devant la cheminée, car en plus j’avais froid. Ainsi, entièrement nue, ...
    ... tremblante de froid et de peur, j’étais devant cette cheminée dans laquelle brûlait un feu d’enfer, mais qui me réchauffait. L’homme prit une chaise, s’assit à califourchon, dans son dos, l’énorme table de chêne, plusieurs fois centenaires certainement, et dit :
    
    - Sers-moi un canon femelle !
    
    Je ne savais, à la fois ce que voulait dire un canon et en plus, ne connaissait pas la maison. Comme je ne bougeais, pas, il se leva, énervé, me prit par les tétons qu’il pressait entre ses doigts et me tirait vers le vieux vaisselier, ordonnant :
    
    - Ouvre ! (ce que je fis) Sors un verre…. (Puis, ensuite, sans me lâcher, me tirait, me poussait vers une armoire) - Ouvre ! Sors la bouteille… remplis le verre… (J’obéissais tout en étant tenue par les doigts de l’homme. Il prit le verre, le porta à sa bouche et dit à nouveau) - Un autre ! (Je le resservais tandis qu’il m’ordonnait de retourner devant la cheminée. En buvant son second verre, plus lentement, il me dévorait des yeux) - Tourne ! Encore ! (J’obéissais, écœurée et morte de honte) - Penche-toi en avant ! Ecarte tes fesses de pute (Que pouvais-je faire d’autre que d’obéir. Je l’entendais vider verres après verres. Je lui dis :
    
    - Monsieur, où sont les toilettes ?
    
    - Tu veux pisser ?
    
    - Oui, Monsieur !
    
    - Approche, tandis qu’il se levait
    
    A un mur, un clou et au clou pendant un collier et une laisse. Il se leva, prit le collier qu’il mit autour de mon cou et la laisse en main il dit :
    
    - Allez, on sort, les chiennes, c’est ...