1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1094)


    Datte: 30/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode 1091) -
    
    J’avais très mal vécu la nouvelle du décès du Professeur. Mes études terminées, je m’orientais vers la médecine et étais inscrite à la Faculté de Montpellier en première année. Nous étions le 29 septembre 1980. Je devais rejoindre un ami dans le centre de la France, pour passer quelques jours dans son département que je connais bien, la Corrèze. J’avais décidé de m’y rendre en voiture par la route la plus directe, via la traversée de la Lozère dont j’appréciais les paysages. Mal m’en prit, vous verrez pourquoi ! Il était 20 heures, le moteur ronronnait. J’avais dépassé la ville de Mende, et j’abordais les paysages bucoliques de la région, la saison estivale étant terminée. Les troupeaux de moutons paissaient calmement, avant d’être ramenés dans les bergeries pour l’hiver… A perte de vue, rien ! Que des étendues d’herbes sèches, de la pierre, rien d’autre ! Pas âme qui vive… La véritable ruralité … C’est ce qui fait le charme de la région. Après ce que j’avais vécu, j’appréciais ce calme reposant et j’allais chez cet ami, retrouver quelques forces avant d’aborder ma nouvelle année d’études.
    
    Je décidais de faire une pause pour respirer cet air pur et odoriférant de thym, serpolet… Je visais un arbre, rabougri, au pied duquel je m’assis, à même le sol, tirant de mon sac, un sandwich. J’étais vêtue d’un jean, tee-shirt sans ...
    ... soutien-gorge, et sur mes épaules un pull-over. Aux pieds, des baskets. La fin de la journée approchait, l’air devenait plus frais, je décidais de revenir à la voiture. Je lançais le moteur qui refusa de démarrer. Une fois, deux fois, trois fois… Je m’étais intéressée à la mécanique, aussi, je ne voulais pas m’acharner à démarrer craignant de noyer le moteur. Je patientais un peu, avec un début d’angoisse bien compréhensible.
    
    - Ah non, pas ici ! Il n’y a rien, ni personne… La nuit va arriver… et trouver de l’aide relève du miracle.
    
    Je tentais à nouveau de lancer le moteur, peine perdue, il ne démarra pas. Subitement le froid tomba sur mes épaules, à la fois par l’heure mais aussi par la peur qui, maintenant m’envahissais. J’enfilais mon pull, tentant coûte que coûte de garder mon calme. Les heures passaient, la nuit était tombée, et la voiture refusait obstinément de démarrer. Aucune voiture, ni tracteur, n’étaient passés depuis ma pause, rien ! Personne ! Le paysage était devenu lugubre. Et j’étais là, à attendre comme une imbécile me disais-je, « Tu aurais du faire réviser ta voiture avant de te lancer »… Vers les trois heures du matin, au loin, dans la ligne droite, des lumières… enfin ! Je bondissais hors de la voiture, tentant de tout faire pour que ces lumières viennent vers moi… Elles se rapprochaient en effet et je compris rapidement qu’une voiture venait dans ma direction… J’allumais donc les phares de mon véhicule pour qu’on me voie mieux, puis je levais le pouce en ...
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