Découverte du plaisir avec ma mère (7) - Histoires de Sexe

Découverte du plaisir avec ma mère (7)

... mouille depuis tout à l’heure, me dit-elle.

Elle se remet à me sucer très habilement. Sa main droite caresse à présent la base de ma queue, qui lui baise sa bouche. Sa main gauche berce mes couilles, pleines de mon foutre. Elle suce plus fort. Elle arrête de bouger sa tête, me laissant continuer de lui baiser la bouche. Sa langue danse sur ma queue alors que je plonge au-delà de ses lèvres, effleurant le fond de sa gorge.

— Maman, merde, tu as la bouche chaude. Mmm, je vais te lancer mon sperme dans la bouche. Je vais te donner ce que tu veux, Maman amour !

Elle masse mes couilles. Elles pèsent lourd, pleines de sperme. Ses yeux se ferment quand mes noix se contractent dans sa main. Puis je laisse échapper un grognement. Ma queue claque au fond de sa gorge. Son beau visage se tord de bonheur. Ma semence jaillit dans sa bouche. Le sperme chaud se répand sur sa langue. Il éclabousse le fond de sa gorge. C’est incroyable. Elle avale.

Je geins, mon visage se transforme exprimant un bonheur merveilleux.

Mes mains abandonnent ses cheveux, tandis que la dernière giclée de sperme coule dans sa bouche.

— Merci mon trésor, j’en avais tellement envie, me murmure-t-elle. Mais là, j’ai ma chatte trempée et il faudra trouver le moyen de pouvoir l’apaiser avant d’aller dormir mon chéri.

— Comment faire ? Marie va vouloir dormir avec moi, dis-je

— On verra, laisse-moi faire. Au fait ! Comment cela évolue entre vous deux ? Me demande-t-elle

— Bien. Cet après-midi ...

... je lui ai baisé le cul avec un doigt pendant que je la masturbais. Elle a aimé le truc et a fortement joui. Des orgasmes à répétition.

— OK, fais-toi plaisir mon bébé et surtout initie aux jeux sexuels notre Marie, elle le mérite tant ! Me conseille Aurélie.

Nous nous embrassons amoureusement, j’en profite pour remonter ma main entre ses jambes tout en relevant sa jupe, j’arrive au-dessus des bas, sa chair nue me donne le frisson, je persiste à remonter ma main pour atteindre l’entrejambe de maman. Elle ne porte pas de culotte comme je le lui ordonne depuis longtemps, sa chatte est fortement humidifiée, gonflée de désir. Un doigt s’immisce entre ses lèvres, ce qui la fait gémir.

— Arrête ! Mon bébé, je ne vais pas pouvoir me retenir de te faire l’amour sur-le-champ. Me murmure-t-elle.

— J’ai envie de te prendre, de te faire jouir et de jouir en toi, tu ne peux savoir comment cela accapare mon esprit.

— Patience mon amour ! Cette nuit on se régalera, me confirme-t-elle

Je me demande comment pourrions-nous faire pour être seuls, maman et moi, et pouvoir baiser tranquillement. Comment Aurélie s’y prendra-t-elle ? Je me pose la question, sans trouver la réponse pour autant. Pendant ce temps, Aurélie part en cuisine nous préparer un dîner léger, vu l’abondance des mets de ce déjeuner chez l’oncle et la tante. Entre-temps Marie revient de sa douche, vêtue d’un déshabillé pour la nuit.

— Où est maman ? Demande-t-elle

— En cuisine, elle nous prépare un repas ...