Découverte du plaisir avec ma mère (7) - Histoires de Sexe

Découverte du plaisir avec ma mère (7)

... frugal avant d’aller nous coucher.

— Amour, j’ai encore toute la chatte gonflée de mes orgasmes de cet après-midi, j’ai toujours envie de ta bite en moi, touche ! Me dit-elle en se mettant devant moi et offrant sa vulve.

— Marie ! Maman peut arriver d’un moment à l’autre.

— Et alors, on a sa bénédiction, si elle nous voyait nous toucher elle comprendrait, me rétorque-t-elle.

Décidément Marie a changé, depuis qu’elle a le consentement maternel, elle se dévergonde à une vitesse vertigineuse, me dis-je.

Je passe ma main sous son déshabillé. Comme on peut apercevoir sa chatte rasée à travers son vêtement c’est comme si elle déambulait nue devant tout le monde. J’ai en main sa chatte, en effet, ses lèvres sont encore gonflées et baignées d’humidité. A ce moment-là, Aurélie entre dans le salon et découvre la scène.

Elle fait comme si elle ne voyait rien et dit :

— Mes enfants, le dîner est servi, si vous voulez bien venir

— Oui maman, répondons-nous en chœur.

Nous nous levons et suivons Aurélie.

Une fois le repas terminé, nous revenons au salon, maman nous sert un café gourmand pour compenser le repas frugal. Nous conversons de la journée chez nos parents. Chacun raconte la sienne, on rit ou sourit, bref nous sommes détendus.

Cela dure un bon moment, nous terminons notre café en poursuivant nos conversations. Puis, Marie se met à bailler, on voit qu’elle lutte pour être toujours présente dans la conversation. Elle combat cette somnolence, c’est ...

... évident. Assise dans le fond du canapé, elle finit par sombrer dans un sommeil de plomb.

Je regarde Aurélie, qui n’a l’air ni inquiète, ni surprise.

Elle me dit :

— Attendons un petit peu que les somnifères fassent leur effet. Ensuite nous irons la coucher dans sa chambre.

— Tu as lui donné des somnifères à son insu ?! Elle sera furieuse à son réveil.

— Mon chéri, j’ai fait cela pour son bien. Si j’ai bien compris, elle n’a pas arrêté de jouir cet après-midi. Elle ne cesse d’avoir des orgasmes depuis dix jours.

Elle se lève pour aller jusqu’à Marie, retrousse sa nuisette et me dit :

— Viens voir !

Je la rejoins près de Marie.

— Regarde son minou. Il est encore gonflé de plaisir.

Elle écarte les cuisses de Marie et pose sa main sur sa vulve, puis elle la passe sous mes yeux.

— Elle demeure encore tout humide, elle est en constante excitation, limite orgasme. Je ne veux pas que ma fille devienne nymphomane. Cela se comprend qu’elle doive libérer toutes ses années de retenue et abstinence. Mais il faut réguler ses envies et désirs, mon chéri. Une bonne nuit de sommeil lui fera le plus grand bien et atténuera ses besoins de sexe. M’explique-t-elle

— Bon, je pense qu’elle est plongée dans un sommeil profond, on va pouvoir la coucher, prends-la dans tes bras et montons-la dans sa chambre.

J’obtempère tout de suite.

— D’accord.

Une fois dans sa chambre, on l’alite, maman la borde avec un amour tout maternel, puis elle éteint la lumière et ...