Ma fille Cloé (7) - Histoires de Sexe

Ma fille Cloé (7)

... pas !

Il retire sa langue, ma femme grogne de frustration, il la remplace par ses deux pouces, il écarte un maximum le trou, il m’invite à regarder, Cloé fait de même, elle écarquille les yeux c’est la première fois qu’elle voit le trou de sa maman si ouvert.

— Ouah maman, comme il te l’ouvre le cochon !

L’homme crache dans le trou ouvert et avec deux doigts, lubrifie le conduit.

— Voilà, c’est prêt !

Je m’allonge sur le dos, ma femme m’enjambe et saisit mon engin, elle a un grand sourire.

Elle le dirige vers sa chatte trempée, et descend jusqu’à ce que l’empalement soit parfait.

Mécaniquement, elle se plaque contre mon torse, offrant ainsi sa seconde ouverture à l’invité.

Il place son monstre à l’entrée de la petite porte, saisit les hanches de ma femme et donne un violent coup de reins.

Ma femme ouvre la bouche toute grande, mais aucun son n’en sort, ses yeux sont exorbités, la douleur est atroce.

Elle reprend son souffle que lorsque les couilles de l’enculeur frappent ses fesses.

Nous ne bougeons plus, nous attendons qu’elle reprenne ses esprits.

Elle a l’impression d’éclater, et que les deux membres sont dans le même trou.

C’est elle, qui la première agite lentement sa croupe, nous commençons à remuer à notre tour.

La cadence augmente selon les gémissements de ma femme, au ...

... fur et à mesure, elle s’accélère.

Les deux queues coulissent en elle comme deux pistons bien synchronisés, l’alternance des coups de reins est parfaite.

Ma femme grogne de plus en plus fort, elle s’agite comme une forcenée sur les pals, elle crie.

— Oh la vache. oh la vache, mon Dieu, Cloé Cloé essaiiiiiie c’est merveilleux de sentir deux queues nous ramoner, c’est troooop !

Les assauts sont terribles, ma femme se cabre et jouit en hurlant, elle continue d’onduler de la croupe, elle veut notre semence dans ses entrailles.

À tour de rôle, on se vide en elle, elle grince des dents et s’agite encore plus fort, elle ne veut pas que cela cesse.

— Encore encore, oui encore !

La chevauchée est terrible, ma femme a orgasme sur orgasme, son corps brûlant est secoué de spasmes.

La femme lui triture les tétons, elle les écrase à chaque fois que me femme se cabre pour jouir.

Nos bites la démontent comme elle ne l’a jamais été, elle se raidit pour un ultime orgasme puis s’écroule sur le sol.

De ses orifices béants s’échappe le surplus de sperme, à cause des nombreux écrasements qu’ont subis ses tétons, les bougres ont du mal à retrouver leurs formes originales.

Je me tourne vers Cloé et lui dis :

Ma chérie, dès que nos batteries seront rechargées, tu auras droit toi aussi à ce traitement privilégié.