Ma fille Cloé (7) - Histoires de Sexe

Ma fille Cloé (7)

... aspire le jus qui la noie.

Avec ses mains, il écarte les grandes lèvres et sort de son écrin la perle qui a déjà pris du volume.

Il l’aspire si fort que ma femme se cabre, elle a les yeux embués, son corps est secoué de frissons, il tète et taquine le bouton d’amour un bon moment, le bouton a presque triplé de volume.

Ma femme agite son bassin comme une dératée, elle plante ses ongles dans les épaules de son amant.

Elle se cabre et gicle de jouissance.

Elle dit des paroles insensées :

— Oui, non, encore, assez, oui oui oh !

L’homme s’écarte, sa bite est tendue comme bondée, un arc, il place son engin monstrueux contre la chatte dégoulinante de ma femme, elle se cabre légèrement, l’homme s’accroche à ses hanches et donne un coup de reins puissant.

Le coup de reins a permit à la queue monstrueuse de s’enfoncer de moitié dans la chatte de ma femme.

L’homme insatisfait, la ressort et la replonge brutalement jusqu’aux couilles, ma femme pousse un cri qu’elle étouffe en se mordant la main.

Ma suceuse s’évertue à faire monter la pression en moi, elle sait se servir de sa bouche et de sa langue la coquine.

Ma queue est devenue dure comme du bois.

Elle m’enjambe, et s’empale sur ma queue en poussant un râle rauque, elle ondule du bassin longuement, pour que l’empalement soit total.

Maintenant, elle monte et descend sur ma colonne de chair, elle donne le tempo.

Elle grince des dents, s’agite sur le pieu qui la fore, je lui lèche les seins ...

... à chaque descente de son corps, les bouts larges et épais m’impressionnent.

Elle accélère le rythme, elle geint de plus en plus fort, elle s’accroche à mon cou, se cabre et jouit comme une femme fontaine.

Je m’agrippe à elle pour ne pas qu’elle se retire, je donne de violents coups de boutoir, je grogne et envoie dans ses entrailles ma semence visqueuse.

L’homme fait de nombreux va-et-vient, il ressort entièrement du corps de ma femme pour replonger brutalement au plus profond, il réitère de nombreuses fois le mouvement, ce qui n’a pas l’air de déplaire à ma femme, car elle l’encourage :

— Oui oui, plus fort, vas-y, démonte-moi comme une chienne !

La bite noueuse coulisse à vive allure dans la vulve insatiable.

— Oh putain, c’est trop bon, encore, n’arrête pas !

Elle me regarde, ses yeux brillent de mille feux, suppliante, elle me dit :

— Mon chéri, c’est trop bon, viens te joindre à nous, faites-moi mourir de plaisir !

L’homme la défonce encore un moment avant que ma femme se cabre à nouveau pour jouir.

Il retire son engin volumineux de la chatte en ébullition et me dit :

— Nous allons la prendre à deux, allonge-toi sur le sol, elle va s’empaler sur toi, mais avant, je vais lui préparer la rondelle !

Il demande à ma femme de se mettre à quatre pattes, il lui écarte les lobs fessiers et lèche l’anneau ridé, sa langue force la petite porte et fouille le plus loin possible.

Ma femme rugit :

Mon Dieu comme c’est bon huuum, n’arrête ...