1. Police polissonne (3)


    Datte: 26/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... parti de la maison, on peut se dire « Tu », j’serais plus à l’aise ; c’est quoi ton prénom ?
    
    — D’accord, pour le TU, pour le prénom…Appelle-moi Marc.
    
    — Ce n’est pas ton vrai prénom ?
    
    — Non, ici c’est comme ça.
    
    — Dis, ils reviennent quand, le commissaire et le JAP ?
    
    — Houla ! Dans deux ou trois heures ou peut-être pas avant demain, pourquoi cette question ?
    
    — Bah…avant que tu m’expliques ce qu’il va m’arriver, je voudrais te remercier pour ce que tu fais pour moi ; t’es un chic type, tu sais.
    
    — Tu sais, je ne fais que mon boulot.
    
    — Je sais, mais j’ai envie de t’embrasser.
    
    Sans même lui laisser le temps de répondre, elle lui saute au cou et l’embrasse avec fougue. Elle s’agrippe à lui comme le ferait un jeune singe à sa mère et lui enfonce sa langue dans la bouche. Marc ne peut qu’apprécier cette invitation, car lui n’est pas avare sur le sexe ; il paraît même qu’il adore ça ! Il connaît le Kamasutra par cœur, et mêmes toutes les pratiques sexuelles ; même les plus inavouables. Le sexe, c’est aussi pour lui une arme redoutable et infaillible pour mener à bien ses enquêtes. Il a parfaitement compris ce que veut la jeune femme, alors il pose ses mains sous ses fesses, et la porte pour la soutenir afin de mieux profiter de cet instant. Il se lance dans un roulage de pelle digne d’un film de cul, il lui fourre la langue dans la bouche, lui pelote les fesses et essaye, à travers le pantalon, de lui fourrer les doigts dans la chatte.
    
    — Putain, que c’est ...
    ... bon ! Tu embrasses vachement bien pour un flic ! Et si tu baises aussi bien, ça va être super !
    
    — Alors fous-toi à poil et je te le prouve tout de suite !
    
    — Mais t’as pas le droit, t’es flic !
    
    — Ici, tu apprendras qu’on a tous les droits ; tu veux que je t’explique ?
    
    — Non, après ; d’abord on baise !
    
    Il la repose au sol et d’un geste rapide, elle ôte tee-shirt, basket et pantalon ; elle n’a rien d’autre sur elle. Elle expose son corps nu, fin, élancé, avec son visage devenu rayonnant et ses yeux pétillants de bonheur et de malice. Son habitude est d’avoir les cheveux coupés à la garçonne par sécurité et aussi pour tromper l’ennemi ; prétend-elle. Marc découvre une jolie petite poitrine et un pubis recouvert d’une toison blonde. Il se dit :
    
    « Et dire que j’ai bien failli charger le dossier de cette gamine, et me voici à deux doigts de la sauter ! »
    
    Elle dévore des yeux l’érection qui déforme le Jeans de Marc. La ceinture du pantalon et la fermeture éclair ne résistent pas un instant sous la précision de ses doigts agiles ; elle découvre avec joie un phallus épais et raide comme une matraque. Sans attendre, elle l’embouche et le lèche comme elle le ferait avec un esquimau en prenant soin d’englober l’extrémité et en aspirer le jus qui commence à s’en écouler. D’une main, elle tient fermement le dard et le masturbe doucement ; de l’autre elle enserre les bourses lisses comme la peau d’un bébé mais trop grosses pour sa petite main. Elle mouille et sent entre ...
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