1. Police polissonne (3)


    Datte: 26/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... pour partager cet instant de bonheur. Elle jouit à grands cris, Marc adore entendre les femmes crier sous ses assauts ; alors il redouble d’efforts. Ses couilles battent le haut des cuisses de la jeune femme, et elle jouit une nouvelle fois à grands bruits. Elle s’accroche au bord du bureau, son rectum lui fait mal, elle transpire à grosses gouttes ; Marc sent le sphincter se resserrer sur sa bite. Il sait qu’elle va jouir encore, il ne s’est pas trompé ; Katia est parcourue de la tête aux pieds par d’étranges convulsions, et sa jouissance est immense, ses cris en sont la preuve ; mais… Le téléphone de l’inspecteur sonne et interrompt cette séance de rut bestial ; il décroche :
    
    — Oui !
    
    — ….
    
    — OK, une seconde ; je vous ouvre !
    
    Il raccroche et reprend :
    
    — La fête est finie, ma belle, le casse-croûte arrive ! Prends tes fringues et habille-toi dans le coin là-bas ! ordonne-t-il tout en désignant un recoin derrière une armoire à dossiers suspendus et la bite à la verticale.
    
    — Putain, t’es un sacré coup, mec ! Comment tu m’as démonté ! Ça fait longtemps que j’n’ai pas prit un tel pied. Dis, on remettra ça dans un hôtel avec duChamp, pour fêter ma promo ?
    
    À peine sa phrase terminée, elle lui saute au cou. Elle lui enfourne sa langue dans la bouche et lui roule le patin du siècle, puis s’agenouille, saisit le gland dégoulinant de sperme, le lèche, récupère les quelques gouttes de sperme et range l’engin dans sa coquille.
    
    — Humm, faut pas gâcher la ...
    ... marchandise ! s’exclame-t-elle.
    
    — C’est bien, mais magne ton cul, il faut que j’ouvre !
    
    Elle ramasse ces frusques et part se cacher du mieux qu’elle peut sur le côté de l’armoire, elle commence à se rhabiller et entend déjà les voix des policiers qui, tout joyeux, apportent les sandwichs et les boissons.
    
    — Alors, Marc tout va bien ? Eh ! Je ne vois pas la gamine, elle est où ; me dis pas qu’elle s’est barrée ?
    
    — Mais non, je suis là ! s’exclame Katia.
    
    L’un des factionnaires se penche et l’aperçoit, seins nus en conflit avec son tee-shirt qui refuse de recouvrir sa poitrine trempée de sueur.
    
    — Oh mec ! Me dis pas que tu te l’es tapée ? Tu te tapes les taulardes, maintenant ; putain tu pourrais partager, mon salaud !
    
    — Ce n’est plus vraiment une taularde, elle va bientôt faire partie de la maison ! répond l’inspecteur.
    
    Katia, les seins à moitié à l’air, sort de sa cachette et dit :
    
    — Soyez tranquille les gars ! Un de ces quatre, je vous prendrai tous les deux ; d’accord ?
    
    — OK, tu vas voir ce qu’on va te mettre ; hein Jojo ! En attendant, tenez voici les casse-croûte, t’as raison la gamine ; prends des forces, tu vas en avoir besoin ! dit l’un des deux flics en riant.
    
    Marc et Katia s’installent alors au bureau, le sac rempli de victuailles et de boissons posé sur le meuble attendent leur destinée. Les gardiens savent que l’inspecteur est réputé pour son appétit féroce et que quand il demande des sandwichs ; c’est que la soirée va être longue. Marc propose ...
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